Ils s’enchaînent. Pour faire bloc. Ça fait du sens, dans la blockchain.
Infrachain, LëtzBlock, la Lhoft, le List et le SnT de l’Université du Luxembourg ont annoncé pour les projets de recherche, d’éducation et de développement de la blockchain, ainsi que développer les capacités de l’industrie afin de faciliter le déploiement des dernières technologies de cartographie distribuée et de blockchain».
Trois ambitions
Ce centre d’excellence aura trois ambitions:
- mener des activités de recherche, de développement et d’innovation concurrentielles dans la blockchain et d’autres technologies DLT en mettant l’accent sur les secteurs verticaux tels que la finance, la santé, l’industrie, la mobilité et la logistique;
- mettre en place une communauté de compétences blockchain, en fournissant une formation et un enseignement pertinents destinés à toutes les parties prenantes, du niveau C aux experts techniques;
- rechercher et développer des normes de gouvernance blockchain.
Après Tokeny et VNX, Apla se lance
Le communiqué cite le Premier ministre, , pour qui «les bases sont posées pour définir la bonne stratégie de développement des compétences de la blockchain, puis faire le nécessaire pour favoriser l’adoption à grande échelle de la blockchain pour le bien général du pays».
Selon le Forum économique mondial, 10% du PIB mondial sera stocké dans les blockchains – ou chaînes de blocs pour les puristes – d’ici 2027, et cela pourrait ajouter 3.000 milliards de dollars au commerce international.
Les développements, dans le domaine de la finance en particulier, sont très suivis au Luxembourg, où HQLAx a réussi une première cette semaine avec la Deutsche Börse. Mais aussi avec des sociétés comme Tokeny ou VNX, la plate-forme d’échange de monnaies cryptées BitFlyer qui a lancé son application il y a peu et également son «Instant Buy» mercredi ou encore Apla Blockchain, qui a lancé jeudi sa solution de gouvernance Apla X-Reg.