Quelques jours après l’annonce de , , l’attention se porte sur qui, selon les informations de RTL, assumera ce rôle.
Le coprésident du parti, qui avait été tête de liste en 2018, avait déjà annoncé au Wort qu’ils proposeraient, avec (coprésidente), un seul nom le 1er février, lors du conseil national du parti, composé d’une centaine de membres. Joint par Paperjam, Claude Wiseler «ne confirme ni ne dément cette information. Nous donnerons notre proposition mercredi prochain, je ne dirai rien de plus. Chacun croit savoir, la presse fait son travail et c’est très bien, mais je fais aussi le mien. Nous réserverons la primauté de l’information au conseil national.»
Les noms de et de avaient également circulé, mais L’essentiel annonçait déjà mardi que Luc Frieden disposait de plusieurs soutiens.
La proposition doit donc encore être officiellement formulée mercredi prochain. RTL ajoute que Luc Frieden aurait donné son accord dès le mois de décembre.
Un retour aux affaires politiques?
L’homme, qui aura 60 ans d’ici les élections du 8 octobre, préside actuellement la Chambre de commerce du Luxembourg et le conseil d’administration de la BIL. Avocat inscrit au barreau, partner au sein du cabinet Elvinger Hoss Prussen, , l’association qui regroupe les Chambres européennes de commerce et d’industrie.
Celui qui était considéré comme le dauphin de a surtout été ministre de la Justice, des Finances et du Budget ou encore de la Défense sous différents gouvernements, entre 1998 et 2013. Suite aux élections législatives d’octobre 2013 et à l’avènement consécutif de la coalition DP-LSAP-déi Gréng, Luc Frieden était redevenu «simple député» de l’opposition. Une activité que l’intéressé n’a jamais vraiment goûtée… au point d’être particulièrement attentif aux propositions du privé, .
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