La Libra, qui dope les cours du bitcoin, est prise avec prudence par les banques centrales et les régulateurs. Les premières critiques apparaissent aussi chez certains des 26 partenaires de Facebook. (Photo: Shutterstock)

La Libra, qui dope les cours du bitcoin, est prise avec prudence par les banques centrales et les régulateurs. Les premières critiques apparaissent aussi chez certains des 26 partenaires de Facebook. (Photo: Shutterstock)

Une semaine après la publication par Facebook de son projet de monnaie cryptée, la Libra s’attire les foudres des banques centrales. Les premiers partenaires du réseau social sont aussi nettement moins enthousiastes qu’il n’y paraît.

«Pour le moment, c’est un projet et beaucoup d’interrogations». , le gouverneur de la banque centrale française, François Villeroy de Galhau, fait le point sur les écueils auxquels Facebook va devoir faire face dans les mois qui viennent s’il veut lancer sa monnaie cryptée au premier semestre prochain.

Valeur, finalité, ambition? Le gouverneur français rappelle que Facebook devra répondre à toutes les exigences auxquelles sont soumis ceux qui exercent des activités similaires.

, qui pose aussi les mêmes questions sur l’approche des régulateurs, certains des 27 premiers partenaires de Facebook (ils devraient être 100 à terme) sont loin d’être aussi enthousiastes qu’il n’y paraît. Les cas de Mastercard ou de Coinbase sont intéressants en termes de communication ou de relation avec leurs salariés.