Charles Majerus, Liam Bremer et Mathis Godefroid (de gauche à droite). (Photo: CGJL/de Jugendrot)

Charles Majerus, Liam Bremer et Mathis Godefroid (de gauche à droite). (Photo: CGJL/de Jugendrot)

Nouveau président de la Conférence générale de la Jeunesse luxembourgeoise/de Jugendrot, Liam Bremer souhaite valoriser le bénévolat chez les jeunes et renforcer la participation active des jeunes dans la démocratie.

La Conférence générale de la jeunesse luxembourgeoise (CGJL), de Jugendrot, qui est l’organisation parapluie des organisations de jeunesse du Grand-Duché de Luxembourg, a élu, vendredi 21 octobre, Liam Bremer comme nouveau président. Il succède à le 23 septembre dernier.

À 23 ans, Liam Bremer connaît bien la CGJL/de Jugendrot qu’il a rejoint en 2018 en tant que représentant de déi jonk gréng au sein du Bureau exécutif. Il a également été trésorier de 2020 à 2022 et a occupé le poste de secrétaire général de mars 2022 à octobre 2022. Étudiant à l’Institut d’études politiques de Paris, il siègera à la tête de l’organisation faîtière des associations de jeunesse jusqu’en mars 2024, date des prochaines élections de président de la CGJL/de Jugendrot.

Un acteur de la défense des intérêts des jeunes

Dans son discours de candidature, Liam Bremer a affirmé que la CGJL/de Jugendrot «a pu se développer au fil des décennies en un acteur incontournable de la défense des intérêts des jeunes au Luxembourg et ailleurs». Il a également mis en avant sa volonté de concentrer davantage les efforts de la CGJL/de Jugendrot sur le travail de plaidoyer, notamment en faveur de la valorisation et la reconnaissance du bénévolat des jeunes. Il souhaite également apporter une importance particulière sur le développement, la mise en œuvre, et le renforcement de projets visant la participation active des jeunes dans notre démocratie.

À noter que pour la durée de son mandat, Liam Bremer, soulignant l’importance de la neutralité partisane du Conseil national de jeunesse, s’est engagé à faire valoir les intérêts des jeunes et non des considérations partisanes. Il a donc renoncé à toute affiliation avec toute organisation politique avant de se porter candidat au poste de président.