LIFESTYLE & VIE PRATIQUE — Carrière
journée internationale des femmes

Les (r)échappées belles

Écrit par Jamila Boudou

Publié The 06.03.2019 • Édité The 06.03.2019

Ayodele Oriade, 30 ans, Nigérienne, assistante en pharmacie, arrivée au Luxembourg en 2014.  Elle a traversé l’Afrique de l’Ouest et a atteint l’Europe au péril de sa vie.  (Photo: Matic Zorman)

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«J’ai toujours rêvé de travailler dans le domaine de la santé. Je travaille à la pharmacie de Redange-sur-Attert.» (Photo: Matic Zorman)

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«Mes collègues sont très gentils et à l’écoute.J’aime aussi discuter avec les gens, aider, conseiller.» (Photo: Matic Zorman)

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«J’ai appris le français et le luxembourgeois. Actuellement, je suis en deuxième année de formation au lycée technique  pour devenir assistante en pharmacie.» (Photo: Matic Zorman)

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Pourquoi le Luxembourg? «Ce n’est pas moi qui ai choisi le Luxembourg, c’est le Luxembourg qui m’a choisie.  C’est un pays calme où l’on peut s’intégrer facilement, je pense.»(Photo: Matic Zorman)

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«Ce n’est pas facile tous les jours. Je communique avec mes proches via Skype.  Mais Il y a toujours moyen de trouver quelqu’un pour t’aider ici.»(Photo: Matic Zorman)

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«Chaque matin, je me dis que c’est une nouvelle journée qui commence et, avec elle, une nouvelle opportunité de réaliser mes rêves.» (Photo: Matic Zorman)

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Salma Said, 21 ans, Tanzanienne, serveuse au Chiche et future aide-soignante.  «Dans mon pays, mes parents m’ont abandonnée, j’ai été élevée par ma tante. J’avais 15 ans quand je suis arrivée au Luxembourg.»(Photo: Matic Zorman)

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«Depuis huit mois environ, je travaille au Chiche, C’est mon premier poste dans la restauration. J’aime travailler en équipe. C’est une nouvelle vie pour moi qui commence au Luxembourg.» (Photo: Sven Becker)

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«J’ai appris le français et je continue d’apprendre le luxembourgeois pour pouvoir devenir aide-soignante.  J’aime écouter et aider les gens..» (Photo: Matic Zorman)

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Son poste au restaurant Chiche, Salma Said l’a décroché grâce à Marianne Donven, agent d’insertion à la Maison de cohésion sociale:  «Je rencontre des gens formidables, à l’image de Salma, c’est quelqu’un de très motivé.» (Photo: Matic Zorman)

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«Je rêve de faire ma vie, fonder une famille, pouvoir un jour retourner dans mon pays, le visiter à nouveau.» (Photo: Matic Zorman)

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Afida Salim Ali, 22 ans, Somalienne, assistante administrative en apprentissage au CHL. (Photo: Matic Zorman)

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J’ai appris le français et je continue d’apprendre le luxembourgeois.  Je poursuis actuellement une formation en alternance pour devenir assistante administrative.»(Photo: Matic Zorman)

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«Quand j’ai quitté la Somalie en 2013  pour venir en Europe, je me disais que j’allais y arriver,  je ne me disais pas que j’allais mourir.»  (Photo: Matic Zorman)

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«J’ai hâte que ma vie soit plus tranquille avec plus de stabilité.»  Avoir sa propre maison et un travail stable font partie de ses aspirations. (Photo: Matic Zorman)

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Ayodele Oriade, 30 ans, Nigérienne, assistante en pharmacie, arrivée au Luxembourg en 2014.  (Elle a traversé l’Afrique de l’Ouest et a atteint l’Europe au péril de sa vie.  (Photo: Matic Zorman))
«J’ai toujours rêvé de travailler dans le domaine de la santé. Je travaille à la pharmacie de Redange-sur-Attert.» ((Photo: Matic Zorman))
«Mes collègues sont très gentils et à l’écoute.J’aime aussi discuter avec les gens, aider, conseiller.» ((Photo: Matic Zorman))
«J’ai appris le français et le luxembourgeois. Actuellement, je suis en deuxième année de formation au lycée technique  (pour devenir assistante en pharmacie.» (Photo: Matic Zorman))
Pourquoi le Luxembourg? «Ce n’est pas moi qui ai choisi le Luxembourg, c’est le Luxembourg qui m’a choisie.  (C’est un pays calme où l’on peut s’intégrer facilement, je pense.»(Photo: Matic Zorman))
«Ce n’est pas facile tous les jours. Je communique avec mes proches via Skype.  (Mais Il y a toujours moyen de trouver quelqu’un pour t’aider ici.»(Photo: Matic Zorman))
«Chaque matin, je me dis que c’est une nouvelle journée qui commence et, avec elle, une nouvelle opportunité de réaliser mes rêves.» ((Photo: Matic Zorman))
Salma Said, 21 ans, Tanzanienne, serveuse au Chiche et future aide-soignante.  («Dans mon pays, mes parents m’ont abandonnée, j’ai été élevée par ma tante. J’avais 15 ans quand je suis arrivée au Luxembourg.»(Photo: Matic Zorman))
«Depuis huit mois environ, je travaille au Chiche, C’est mon premier poste dans la restauration. J’aime travailler en équipe. (C’est une nouvelle vie pour moi qui commence au Luxembourg.» (Photo: Sven Becker))
«J’ai appris le français et je continue d’apprendre le luxembourgeois pour pouvoir devenir aide-soignante.  (J’aime écouter et aider les gens..» (Photo: Matic Zorman))
Son poste au restaurant Chiche, Salma Said l’a décroché grâce à Marianne Donven, agent d’insertion à la Maison de cohésion sociale:  («Je rencontre des gens formidables, à l’image de Salma, c’est quelqu’un de très motivé.» (Photo: Matic Zorman))
«Je rêve de faire ma vie, fonder une famille, pouvoir un jour retourner dans mon pays, le visiter à nouveau.» ((Photo: Matic Zorman))
Afida Salim Ali, 22 ans, Somalienne, assistante administrative en apprentissage au CHL. ((Photo: Matic Zorman))
J’ai appris le français et je continue d’apprendre le luxembourgeois.  (Je poursuis actuellement une formation en alternance pour devenir assistante administrative.»(Photo: Matic Zorman))
«Quand j’ai quitté la Somalie en 2013  pour venir en Europe, je me disais que j’allais y arriver,  (je ne me disais pas que j’allais mourir.»  (Photo: Matic Zorman))
«J’ai hâte que ma vie soit plus tranquille avec plus de stabilité.»  (Avoir sa propre maison et un travail stable font partie de ses aspirations. (Photo: Matic Zorman))

Elles ont bravé les frontières, la mer et l’inconnu pour arriver en Europe. Derrière un statut de réfugié ou de demandeur de protection internationale, il y a trois jeunes femmes, courageuses, désireuses de se reconstruire, d’écrire un nouveau chapitre de leur vie dans un pays d’accueil: le Luxembourg.

Rencontre en images avec Ayodele Oriade, Salma Said et Afida Salim Ali en prélude à la Journée internationale du droit des femmes du 8 mars. (Photos: Matic Zorman et Sven Becker)

Ce reportage photo est paru dans l'édition mars 2019 du  magazine Paperjam .