Philippe Meyer, Thierry Ravasio et David Capocci forment le trio du second tour de l’élection du managing partner de la firme employant quelque 1.700 personnes. (Montage photo: Paperjam)

Philippe Meyer, Thierry Ravasio et David Capocci forment le trio du second tour de l’élection du managing partner de la firme employant quelque 1.700 personnes. (Montage photo: Paperjam)

Info Paperjam – Les associés de KPMG Luxembourg vont élire un nouveau managing partner ce vendredi. Un premier tour de cette élection aussi stratégique que politique a permis de dégager trois candidats.

Mise à jour le 16 mars à 15h15:

Précisions à nos lecteurs: les trois personnes évoquées dans l'article faisaient bien partie des dirigeants de KPMG en lice pour devenir managing partner, mais ils faisaient partie d'un premier tour de l'élection en interne et non du deuxième. Le premier tour s'était bien déroulé à six candidats, trois au second mais seul M. Capocci en faisait partie parmi les trois noms mentionnés dans l'article ci-dessous.

Quatre ans après , les cartes s’apprêtent à être rebattues chez KPMG Luxembourg. Les associés vont en effet choisir un nouveau managing partner. Selon nos informations, cette élection se déroulera ce vendredi 13 mars et, après un premier tour comprenant sept candidats, trois noms se sont dégagés:

- l’actuel managing partner et président de l’Institut des réviseurs d’entreprises, , émanant de la branche Audit de la firme, qui souhaite rempiler;

- un autre auditeur et également head of people, Thierry Ravasio. Il a débuté sa carrière chez KPMG Luxembourg en 1996;

- enfin, un associé fiscaliste arrivé en février 2017 en provenance de Deloitte: . Il est également en charge du secteur de l’alternatif dans les fonds d’investissement.

Exercice habituel au sein des Big Four et autres cabinets évoluant selon le régime de partenariat, l’élection interne revêt un enjeu tout aussi stratégique pour le futur de la firme au travers des impulsions du managing partner que politique.

Il y a quatre ans, l’élection interne chez KPMG avait été marquée par l’affrontement serré et vif en interne entre le managing partner sortant et l’actuel Philippe Meyer.

Chez les trois autres Big Four, les mandats de leurs grands chefs se déroulent également sur quatre ans. PwC avait choisi la voie de la continuité et de l’expérience avec . Quant à EY, c’est qui , après une décennie marquée par .