Après des débuts réussis au Luxembourg, Julien Casse et Felix Hemmerling, les deux fondateurs de Kodehyve, attaquent le marché belge en début de semaine prochaine. (Photo: Kodehyve)

Après des débuts réussis au Luxembourg, Julien Casse et Felix Hemmerling, les deux fondateurs de Kodehyve, attaquent le marché belge en début de semaine prochaine. (Photo: Kodehyve)

La start-up luxembourgeoise spécialisée dans la digitalisation du secteur immobilier, Kodehyve, annonce qu’elle entrera sur le marché belge à l’occasion du salon Realty, les 19 et 20 septembre à Bruxelles.

Être pensées directement pour l’international devrait être un prérequis pour toutes les start-up luxembourgeoises. Mais quand le jour J arrive, c’est un cap particulier. Kodehyve le franchira mardi et mercredi prochains, à Bruxelles, à l’occasion du salon sur l’immobilier Realty, où elle a notamment décidé d’organiser une conférence (de 15h à 15h45 dans l’Innovation Talk Room de Realty) pour se faire connaître directement auprès des professionnels de l’immobilier.

«Notre produit a été conçu pour l’internationalisation et est suffisamment bien préparé et mature pour avoir un impact significatif en Belgique et au-delà. Nous reconnaissons les similitudes entre les deux marchés et sommes ravis de contribuer à la digitalisation des processus de développement immobilier en Belgique», a commenté le CEO de Kodehyve, Felix Hemmerling. «Realty est une excellente occasion pour notre équipe de rencontrer des professionnels du secteur, non seulement pour présenter nos solutions, mais aussi pour échanger avec des acteurs clés de l’industrie immobilière belge. Nous cherchons à avoir une vision plus approfondie du marché belge afin d’adapter encore mieux notre produit aux besoins futurs de ce marché.»

La start-up luxembourgeoise développe des systèmes d’exploitation et des APIs spécifiquement dédiés à l’industrie immobilière, permettant aux promoteurs immobiliers, aux constructeurs, aux fonds immobiliers et aux agences – ainsi qu’à leurs parties prenantes – de structurer, d’exécuter et d’analyser de manière plus pratique et plus efficace la gestion de projet, du cycle de vie des investisseurs et des clients, le risque et la conformité, ainsi que la gestion financière – dans le contexte de projets en vente en état de futur achèvement – en s’appuyant sur l’automatisation et l’informatique décisionnelle. Le tout dans un contexte de signature électronique eIDAS et en permettant de se conformer à toutes les exigences de KYL, d’AML et autres réglementations pour s’assurer de la droiture des parties prenantes.