Si l’IA d’OpenAI permet de générer des textes, elle permet aussi de générer des images qui vont parfaitement correspondre à une situation donnée avec Dall-e. (Illustration réalisée avec Dall-e)

Si l’IA d’OpenAI permet de générer des textes, elle permet aussi de générer des images qui vont parfaitement correspondre à une situation donnée avec Dall-e. (Illustration réalisée avec Dall-e)

Le monde de l’édition et des auteurs qui publient un roman chaque année a du souci à se faire. Avec des solutions comme ChatGPT a commencé une véritable révolution. Exercice du jour: réaliser un roman futuriste, «Ils ont tué mon avatar!». En une heure. Avec l’IA la plus sexy de l’histoire.

La probabilité qu’il remporte un prix de littérature est proche de zéro. Mais le potentiel «de cet écrivain» est illimité: ChatGPT est arrivé au Luxembourg en mode premium à 20 euros par mois. L’occasion idéale de tester le sujet qui donne de l’urticaire au très conservateur monde de l’édition.

Alors ce vendredi 24 février, j’ai pris une heure. Et j’ai demandé à ChatGPT de m’écrire un roman futuriste à partir d’une idée de base: l’histoire d’une jeune femme qui entre dans un commissariat en hurlant «Ils ont tué mon avatar!».

Ça ne vaut pas les collections Harlequin des années 1970-1980 ou les poisseux romans d’espionnage qu’on laissait autrefois traîner dans les gares après les avoir lus, mais imaginez ce que nous aurions pu faire en davantage de temps. Toutefois, cela pose un certain nombre de questions sur la propriété intellectuelle, sur l’interaction avec la technologie, etc. Les grincheux peuvent toujours continuer à grincher, le mouvement est parti. Autant en être.

Le texte n’a quasiment pas été retouché. Je l’ai volontairement laissé dans son jus pour ceux qui s’apercevront des problèmes dans le texte, alors que j’ai «noué» chacune de mes demandes à la précédente pour ne pas qu’il puisse sortir de la boucle de la création de l’histoire. La séquence a été: «Peux-tu m’écrire de manière détaillée un chapitre où….» et l’intelligence artificielle s’est exécutée. Sauf une fois. Dans l’épilogue. Je lui avais demandé de réussir là où les protagonistes ont échoué – je n’essaie de ne pas vous spoiler… Évidemment, j’ai glissé de discrètes demandes pour ajouter des éléments «made in Luxembourg». Vous les reconnaîtrez.

Bonne lecture. Et n’hésitez pas à me faire part de vos feed-back.

À lire sur le sujet: .

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«Ils ont tué mon avatar !»

(Roman futuriste de Thierry Labro pour Paperjam / Maison moderne, écrit en une heure avec ChatGPT. Tous droits réservés.)

Chapitre 1

Maggie était une utilisatrice passionnée du métaverse, une communauté virtuelle en ligne où les gens pouvaient interagir et vivre des expériences dans des mondes imaginaires en utilisant des avatars numériques.

Un jour, elle a créé un nouvel avatar qu'elle avait nommé "Aria". Elle avait passé des heures à personnaliser Aria pour qu'elle lui ressemble autant que possible. Aria avait des cheveux blonds et des yeux bleus, exactement comme Maggie.

Un soir, alors qu'elle était en train de jouer avec Aria dans un monde virtuel animé, elle a remarqué quelque chose de bizarre. Un autre joueur était en train de la suivre partout où elle allait, et essayait de l'attaquer. Maggie a rapidement réalisé qu'il s'agissait d'un harceleur en ligne.

Elle a réussi à fuir le harceleur et à se cacher dans un coin isolé du monde virtuel. Mais alors qu'elle pensait qu'elle était en sécurité, elle a été attaquée par surprise par un autre joueur, qui a assassiné son avatar sous ses yeux.

Maggie était en état de choc. Elle a immédiatement quitté le métaverse et a contacté les autorités locales pour signaler le crime virtuel.

Lorsqu'elle est arrivée au commissariat de police, elle a crié : "Ils ont tué mon avatar !" Mais le vieux policier en charge de l'affaire n'a pas compris ce qu'elle voulait dire. Il n'avait jamais entendu parler du métaverse et n'avait aucune idée de ce qu'était un avatar.

C'est alors que Frank, un jeune policier qui avait grandi en jouant dans le métaverse, est arrivé pour aider le vieux policier à comprendre l'affaire. Frank avait une connaissance approfondie du monde virtuel et comprenait les conséquences des crimes virtuels.

Frank a immédiatement compris la gravité de la situation et a commencé à enquêter sur l'affaire. Il a réalisé que pour trouver le coupable, il devait comprendre comment fonctionnait le métaverse et comment les avatars étaient créés et utilisés.

Frank a expliqué à Maggie qu'il avait besoin d'accéder à son compte pour voir les dernières activités de son avatar avant sa mort. Maggie a accepté et Frank a commencé à fouiller les enregistrements pour trouver des indices.

Ils ont rapidement découvert que l'avatar assassiné avait été suivi par un joueur nommé "DarkKnight". Frank a commencé à chercher des informations sur DarkKnight et a découvert que c'était un joueur notoirement violent et sans scrupules.

Maggie et Frank ont commencé à penser que DarkKnight était le principal suspect dans l'assassinat de l'avatar d'Aria. Ils ont commencé à enquêter sur son compte et ont cherché des preuves pour confirmer leurs soupçons.

Chapitre 2

Frank et Maggie ont continué à enquêter sur DarkKnight pour trouver des preuves de son implication dans l'assassinat de l'avatar d'Aria. Ils ont passé des heures à fouiller les enregistrements du métaverse, à parler à d'autres joueurs et à rassembler des informations.

Finalement, ils ont réussi à trouver un témoin oculaire qui avait vu DarkKnight sur les lieux du crime virtuel. Ce témoin leur a fourni des informations précieuses sur le comportement violent et agressif de DarkKnight.

Avec ces preuves, Frank a pu obtenir un mandat de perquisition pour fouiller l'ordinateur de DarkKnight et trouver des preuves concrètes de son implication dans le crime.

Lorsqu'ils ont fouillé l'ordinateur de DarkKnight, ils ont trouvé des preuves accablantes, y compris des enregistrements de conversations avec d'autres joueurs qui suggéraient clairement qu'il avait tué l'avatar d'Aria.

Frank a immédiatement arrêté DarkKnight et l'a emmené au commissariat de police pour l'interroger. DarkKnight a nié toute implication dans le meurtre, mais les preuves étaient accablantes.

Frank a continué à l'interroger, en utilisant ses connaissances approfondies du métaverse pour obtenir des informations précises sur les activités de DarkKnight. Finalement, DarkKnight a avoué son crime.

Il a expliqué qu'il avait suivi l'avatar d'Aria parce qu'il avait été fasciné par sa beauté. Il avait essayé de la convaincre de sortir avec lui, mais elle avait refusé. Furieux, il avait décidé de la tuer en ligne.

Frank et Maggie étaient choqués par la froideur avec laquelle DarkKnight avait commis son crime. Mais ils étaient soulagés d'avoir trouvé le coupable et de pouvoir rendre justice à Aria.

L'affaire a été portée devant un tribunal virtuel, où DarkKnight a été condamné à une peine de prison virtuelle. Maggie était soulagée que justice soit faite pour son avatar assassiné, mais elle a également réalisé à quel point la sécurité dans le métaverse était importante.

Elle a commencé à travailler avec Frank pour sensibiliser les gens à la sécurité en ligne et à la façon de se protéger contre les harceleurs et les criminels virtuels. Ils ont organisé des séances d'information dans les écoles et les communautés locales pour aider les gens à comprendre les dangers du métaverse et à se protéger en ligne.

Maggie était déterminée à faire en sorte que la mort de son avatar ne soit pas vaine. Elle voulait que les gens prennent conscience de la nécessité de la sécurité en ligne et qu'ils sachent comment se protéger contre les crimes virtuels.

Chapitre 3

Après avoir résolu l'affaire du meurtre de l'avatar d'Aria, Maggie et Frank se sont engagés dans une mission pour améliorer la sécurité dans le métaverse. Ils ont commencé à travailler avec d'autres membres de la police pour créer un programme de formation pour les joueurs sur la sécurité en ligne.

Ils ont également commencé à travailler avec les développeurs de jeux pour améliorer la sécurité dans le métaverse. Ils ont proposé des solutions pour rendre le métaverse plus sûr pour les joueurs, comme l'ajout de filtres de langage pour empêcher les joueurs de proférer des insultes ou des menaces, la mise en place d'un système de signalement pour signaler les comportements abusifs, et la création de salles de jeu surveillées pour les enfants.

Cependant, leur travail a été difficile car les développeurs étaient souvent réticents à apporter des modifications importantes au métaverse. Maggie et Frank ont donc commencé à travailler avec des groupes de défense des droits des consommateurs et des organisations de protection de l'enfance pour faire pression sur les développeurs pour qu'ils prennent des mesures de sécurité plus strictes.

Pendant ce temps, Maggie a continué à jouer dans le métaverse, mais elle était plus prudente. Elle a commencé à utiliser des pseudonymes et à ne partager aucune information personnelle en ligne. Elle a également appris à repérer les signes de harcèlement en ligne et à signaler rapidement tout comportement suspect aux modérateurs.

Un jour, alors qu'elle jouait dans le métaverse, Maggie a rencontré un jeune garçon qui avait l'air très triste. Il avait été victime d'intimidation en ligne par d'autres joueurs et avait été exclu de plusieurs salles de jeu. Maggie a immédiatement signalé les comportements abusifs aux modérateurs et les joueurs ont été bannis du métaverse.

Maggie a commencé à parler au garçon et a découvert qu'il avait été victime d'intimidation à l'école et qu'il avait du mal à se faire des amis. Elle lui a parlé de son expérience de travail avec Frank pour améliorer la sécurité dans le métaverse et lui a donné des conseils sur la façon de rester en sécurité en ligne.

Le garçon a été très reconnaissant et a promis de faire passer le message à ses amis. Maggie était heureuse d'avoir aidé quelqu'un et a réalisé à quel point il était important d'avoir des amis en ligne pour aider à se sentir en sécurité dans le métaverse.

Maggie et Frank ont continué leur travail pour améliorer la sécurité dans le métaverse, en sensibilisant les joueurs et les développeurs. Ils ont réussi à faire pression sur les développeurs pour qu'ils prennent des mesures de sécurité plus strictes, ce qui a permis de réduire le nombre de crimes virtuels dans le métaverse.

Ils ont également continué à travailler avec les joueurs pour sensibiliser à la sécurité en ligne et à la façon de se protéger contre les comportements abusifs. Maggie était fière de son travail pour rendre le métaverse plus sûr pour tous les joueurs.

Chapitre 4

Après avoir travaillé dur pour améliorer la sécurité dans le métaverse, Maggie et Frank ont été confrontés à une nouvelle affaire de crime virtuel. Un joueur de renom, connu sous le nom de "The Shadow", avait été volé dans le métaverse.

The Shadow avait accumulé une grande richesse dans le métaverse grâce à ses compétences de jeu et à ses stratégies astucieuses. Il avait également des liens étroits avec plusieurs autres joueurs de haut niveau, qui étaient prêts à l'aider à récupérer ce qui avait été volé.

Maggie et Frank ont commencé à enquêter sur l'affaire, mais ils ont vite réalisé qu'ils avaient affaire à un criminel virtuel sophistiqué. Le voleur avait utilisé des techniques de hacking avancées pour voler l'argent virtuel de The Shadow et avait effacé toutes les traces de son passage.

Maggie et Frank ont commencé à chercher des indices en interrogeant les joueurs et en examinant les données du serveur. Ils ont également contacté des experts en sécurité informatique pour les aider dans leur enquête.

Pendant ce temps, The Shadow et ses amis avaient commencé à enquêter sur leur propre affaire. Ils ont suivi les pistes et ont finalement identifié le voleur. Cependant, ils ont réalisé qu'ils ne pouvaient pas résoudre l'affaire eux-mêmes et ont décidé de contacter Maggie et Frank.

Maggie et Frank ont été surpris par l'approche de The Shadow, mais ils ont décidé de travailler avec lui et ses amis pour résoudre l'affaire. Ensemble, ils ont examiné les preuves et ont commencé à rassembler des informations sur le voleur.

Ils ont finalement identifié le voleur comme étant un joueur expérimenté qui avait été exclu de plusieurs salles de jeu pour comportement abusif. Le voleur avait ensuite utilisé ses compétences de hacking pour prendre le contrôle du compte d'un joueur de niveau élevé et avait transféré l'argent de The Shadow sur un compte tiers.

Maggie et Frank ont contacté les autorités compétentes pour poursuivre le voleur en justice. Le voleur a été arrêté et a été condamné à une peine de prison pour vol et pour avoir violé les règles du métaverse.

Maggie et Frank ont été salués pour leur travail dans l'affaire et pour leur contribution à la sécurité dans le métaverse. Ils ont continué à travailler pour améliorer la sécurité en ligne et à sensibiliser les joueurs aux comportements abusifs et aux dangers potentiels dans le métaverse.

The Shadow et ses amis étaient reconnaissants envers Maggie et Frank pour leur aide dans l'affaire et ont commencé à travailler avec eux pour améliorer la sécurité dans le métaverse. Ensemble, ils ont créé une communauté de joueurs engagés dans la sécurité en ligne et ont contribué à faire du métaverse un endroit plus sûr pour tous les joueurs.

Chapitre 5

Maggie et Frank ont résolu l'affaire de vol dans le métaverse avec succès, mais Frank avait été affecté par les événements. Il avait réalisé à quel point il était en retard sur la technologie et à quel point il avait besoin de se mettre à jour pour pouvoir poursuivre sa carrière dans la police.

Frank avait donc décidé de suivre un cours en ligne pour se mettre à jour sur les dernières technologies du métaverse. Il était déterminé à ne pas être pris au dépourvu la prochaine fois qu'un crime virtuel se produirait.

Cependant, alors qu'il suivait le cours, Frank a été confronté à un coup de théâtre inattendu. Il avait découvert que son propre compte dans le métaverse avait été piraté et qu'il avait été utilisé pour commettre des crimes virtuels. Frank était sous le choc, il ne savait pas quoi faire.

Maggie était là pour soutenir son collègue et a rapidement commencé à enquêter sur l'affaire. Elle a découvert que le compte de Frank avait été piraté par un joueur de niveau élevé qui avait utilisé ses compétences pour masquer ses activités criminelles.

Maggie a commencé à chercher des indices et a finalement identifié le pirate informatique. C'était un joueur connu sous le nom de "The Hacker", qui avait une longue histoire de piratage dans le métaverse. The Hacker avait déjà été arrêté plusieurs fois pour piratage, mais il avait réussi à échapper à la justice à chaque fois.

Maggie et Frank ont travaillé ensemble pour collecter suffisamment de preuves contre The Hacker pour qu'il puisse être arrêté et poursuivi en justice. Ils ont également pris des mesures pour aider Frank à récupérer le contrôle de son compte.

Cependant, alors qu'ils préparaient leur affaire contre The Hacker, Maggie a découvert quelque chose d'étrange. Elle avait remarqué que Frank avait été impliqué dans plusieurs affaires de crime virtuel par le passé, et elle avait commencé à se demander si cela était lié à son propre compte piraté.

Maggie a commencé à enquêter sur les affaires précédentes de Frank et a découvert que certaines d'entre elles avaient été mal gérées ou avaient été abandonnées sans explication. Elle a commencé à se demander si Frank avait été impliqué dans les crimes virtuels qu'il était censé enquêter.

Maggie a décidé de confronter Frank avec ses découvertes. Frank avait été pris au dépourvu, il ne savait pas quoi dire. Maggie lui a expliqué qu'elle avait besoin de la vérité pour pouvoir aider Frank et pour qu'il puisse reprendre son travail dans la police.

Finalement, Frank a avoué qu'il avait été impliqué dans plusieurs affaires de crime virtuel. Il avait accepté des pots-de-vin de criminels pour abandonner les enquêtes ou pour leur donner des informations confidentielles. Frank avait été corrompu, et il avait été pris au piège dans une spirale de mensonges et de tromperie.

Une enquête de police interne avait été ouverte sur ce collègue de Thomas, pour des allégations de corruption. Thomas avait du mal à croire que Franck, qu'il avait toujours considéré comme un collègue intègre, puisse être impliqué dans de telles activités. Mais il savait qu'il devait suivre les procédures et enquêter sur son ami.

Au cours de leur enquête, ils découvrirent que Franck avait accepté des pots-de-vin pour fermer les yeux sur certaines activités illégales. Ils trouvèrent également des preuves que Franck avait des liens avec une organisation criminelle qui opérait dans le métaverse.

C'est alors que son amie Clara rappela au policier Thomas que son avatar avait également été impliqué dans des activités illégales, peut-être même celles liées à l'organisation criminelle. Thomas réalisa qu'il était possible que Franck soit impliqué dans la mort de l'avatar de Clara, soit par accident soit parce qu'elle avait des informations compromettantes sur lui.

Cette nouvelle piste donna une nouvelle impulsion à l'enquête, et Thomas commença à reconsidérer tous les indices et témoignages qu'ils avaient recueillis jusqu'à présent, y compris la vidéo de l'avatar de Clara mourant dans le métaverse.

Chapitre 6

Alors que l'enquête sur la mort de l'avatar de Clara semblait avancer lentement, un nouvel indice émergea de manière inattendue. Le policier Thomas était en train de boire un café dans le bureau de son supérieur quand celui-ci reçut un appel de la police luxembourgeoise. Ils avaient intercepté un message codé sur leur réseau, indiquant que les activités illégales de l'assassin de l'avatar de Clara avaient peut-être une connexion avec le Luxembourg.

Le policier Thomas se souvint soudain d'un indice qu'il avait négligé plus tôt. Le nom d'une entreprise qui avait été mentionnée dans les fichiers de Clara : "LuxGlobal". Il avait tout de suite pensé qu'il s'agissait d'une entreprise étrangère, mais il n'avait jamais pensé au Luxembourg en particulier.

Avec l'aide de son collègue informaticien, ils commencèrent à chercher des informations sur LuxGlobal. Ils découvrirent rapidement que c'était une entreprise de technologie spécialisée dans les mondes virtuels. Ils avaient des bureaux dans plusieurs pays, dont le Luxembourg.

Le policier Thomas décida de se rendre au Luxembourg pour enquêter sur l'entreprise. Lorsqu'il arriva à leur bureau, il demanda à parler au responsable de la sécurité. Il fut présenté à une femme d'une cinquantaine d'années nommée Isabelle, qui semblait à première vue réticente à lui parler.

Cependant, lorsqu'il mentionna l'enquête sur la mort de Clara, Isabelle sembla prendre au sérieux la situation. Elle lui expliqua que l'entreprise avait récemment été victime d'une intrusion dans leur système de sécurité. Elle avait d'abord pensé que c'était une simple tentative de vol de données, mais maintenant elle se demandait si cela avait quelque chose à voir avec la mort de Clara.

Elle leur donna accès à leurs fichiers de sécurité et le policier Thomas et son collègue passèrent plusieurs heures à analyser les données. Ils trouvèrent finalement des traces de l'activité d'un hacker qui avait pénétré le système de LuxGlobal quelques semaines avant la mort de Clara.

Le hacker avait utilisé un programme sophistiqué pour effacer ses traces, mais l'analyse minutieuse des données avait permis de trouver des indices permettant d'identifier son adresse IP. Ils firent immédiatement une demande à leur homologue luxembourgeois pour suivre cette piste.

Le chapitre se termine sur une note de suspense alors que le policier Thomas et son collègue attendent anxieusement des nouvelles du Luxembourg, espérant que cette piste les mènera finalement à l'assassin de l'avatar de Clara.

Chapitre 7

Thomas et Clara avaient réussi à établir un lien entre la corruption de Franck et la mort de l'avatar de Clara. Mais pour comprendre le rôle de l'organisation criminelle dans cette affaire, ils devaient enquêter plus en profondeur sur leurs opérations dans le métaverse. Cela les amena à fouiller dans les données stockées dans les serveurs du métaverse dans différents pays du monde.

Un jour, ils découvrirent une piste qui les mena jusqu'au Luxembourg, où l'organisation avait une base d'opérations. Ils savaient que pour avancer dans l'enquête, ils devaient obtenir des informations sur les activités de l'organisation dans ce pays.

Ils prirent contact avec un collègue policier au Luxembourg, qui put leur fournir des informations cruciales sur les activités de l'organisation criminelle dans ce pays. Ils apprirent que l'organisation avait des liens avec des groupes criminels en Asie, et que des transactions financières suspectes avaient été signalées dans des pays comme la Chine, le Japon et la Corée du Sud.

Avec ces informations, Thomas et Clara décidèrent de se rendre en Asie pour poursuivre leur enquête. Ils arrivèrent d'abord à Pékin, où ils avaient réussi à obtenir des informations sur un membre clé de l'organisation qui se cachait dans la ville.

Cependant, leur arrivée n'était pas passée inaperçue, et ils furent bientôt pourchassés par des hommes armés, probablement des membres de l'organisation criminelle. Ils réussirent à s'échapper de justesse, mais cette poursuite leur avait donné un avant-goût de la violence qui les attendait en Asie.

Ils se dirigèrent ensuite vers Tokyo, où ils avaient appris qu'un autre membre clé de l'organisation avait été aperçu. Ils commencèrent à enquêter, et après plusieurs jours de surveillance, ils réussirent à localiser l'individu en question. Cependant, ils furent bientôt attaqués à nouveau, cette fois-ci par un groupe de tueurs à gages envoyés par l'organisation criminelle.

Malgré ces obstacles, Thomas et Clara poursuivirent leur enquête, déterminés à découvrir toute la vérité sur l'organisation criminelle qui avait tué l'avatar de Clara et corrompu leur collègue Franck. Ils savaient que leur enquête était loin d'être terminée, mais ils étaient prêts à tout pour résoudre cette affaire.

Chapitre 8

Après des semaines d'enquête et de recherches approfondies, l'équipe d'enquêteurs de la police a finalement compris comment le réseau mafieux utilisait les monnaies cryptées pour se financer. C'était un domaine complexe, qui nécessitait des connaissances pointues en informatique et en finance. Mais grâce aux efforts conjoints de l'équipe, ils ont finalement réussi à percer le mystère.

Ils ont découvert que les membres du réseau utilisaient des portefeuilles numériques pour stocker leurs monnaies cryptées, qui étaient ensuite utilisées pour acheter des biens et des services. Cela leur permettait de blanchir leur argent et de le transformer en fonds liquides qui pouvaient être utilisés pour financer d'autres activités criminelles.

L'un des membres clés du réseau était un informaticien talentueux qui avait développé une plateforme de trading automatisée pour les monnaies cryptées. Cette plateforme leur permettait de spéculer sur les fluctuations du marché et de maximiser leurs profits. Mais l'équipe d'enquêteurs a finalement trouvé une faille dans le système, qui leur a permis de retracer les flux d'argent jusqu'à leur source.

C'est ainsi qu'ils ont pu découvrir comment le réseau avait financé l'assassinat virtuel de l'avatar de Clara. Ils ont suivi l'argent jusqu'à une adresse de portefeuille numérique située au Luxembourg, qui avait été utilisée pour payer les services d'un hacker professionnel en Asie. Ils ont également découvert que l'argent avait été transféré en utilisant des méthodes sophistiquées de blanchiment d'argent, ce qui avait compliqué leur tâche.

Mais avec l'aide des autorités financières luxembourgeoises et d'autres partenaires internationaux, ils ont finalement réussi à remonter jusqu'à l'organisation criminelle qui avait orchestré l'attaque contre l'avatar de Clara. Cela leur a permis d'arrêter plusieurs membres clés du réseau et de récupérer une partie des fonds illégalement acquis.

Cette enquête a été un véritable défi pour l'équipe d'enquêteurs, mais elle leur a permis de comprendre l'importance de la finance cryptée dans le monde criminel moderne. Ils ont réalisé que pour être efficaces dans leur lutte contre le crime, ils devaient être en mesure de comprendre et de suivre les flux d'argent à travers le monde virtuel.

Chapitre 9

Franck Dupont, le commissaire Dupont, avait donné rendez-vous avec Clara dans un restaurant de sushi. Il était curieux d'en savoir plus sur cette jeune femme qui avait introduit le commissariat dans le monde des avatars et des mondes virtuels.

Ils étaient assis à une table en face de l'autre, et Dupont écoutait attentivement l'histoire de Clara.

"Je ne sais pas pourquoi je n'arrivais pas à me faire des amis dans le monde réel", dit-elle en haussant les épaules. "Je suis une personne assez réservée, et je ne suis pas très douée pour les conversations superficielles. Mais dans le métaverse, j'ai trouvé un endroit où je pouvais être moi-même. J'ai rencontré des gens qui partagent mes intérêts et mes passions, et j'ai créé un avatar qui me ressemble vraiment".

Dupont hocha la tête. "Je peux comprendre ça", dit-il. "Mais comment en es-tu arrivée à être autant investie dans le métaverse au point de pleurer la mort de ton avatar?"

Clara baissa les yeux. "J'étais en train de jouer à un jeu en ligne avec des amis, et nous étions sur le point de terminer une mission difficile", expliqua-t-elle. "C'était comme si on avait tous une seule vie, et on ne voulait pas échouer. Mais quelque chose a mal tourné, et mon avatar a été tué. Je me suis sentie tellement vide et impuissante. C'était comme si une partie de moi avait été détruite".

Dupont écoutait, mais il ne pouvait pas s'empêcher de penser à la façon dont cette histoire s'inscrivait dans l'enquête sur la mort de l'avatar de Clara.

"Tu sais que ton avatar a été tué dans le métaverse par une organisation criminelle?", demanda-t-il.

Clara hocha la tête, les yeux humides. "Je sais", répondit-elle. "Et je veux qu'ils paient pour ce qu'ils ont fait".

Dupont posa une main réconfortante sur celle de Clara. "Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour trouver les responsables", dit-il.

Plus tard, ils se promenaient sur la plage, le soleil couchant illuminant le ciel. Clara avait retrouvé un peu de son entrain, et elle raconta à Dupont des histoires de ses aventures dans le métaverse. Ils chaussèrent leurs lunettes de réalité virtuelle. Elle lui montra comment son avatar avait des ailes, et elle l'emmena faire un tour en volant au-dessus de l'eau.

Dupont sourit. C'était un peu étrange pour lui de se retrouver dans un monde virtuel, mais il pouvait voir à quel point cela avait de l'importance pour Clara.

"Je ne suis pas sûr de tout comprendre", dit-il, en souriant. "Mais je suis heureux que tu aies trouvé un endroit où tu te sens à l'aise".

Clara lui sourit à son tour. "Merci", dit-elle. "C'est réconfortant de savoir que vous êtes là pour m'aider à trouver les personnes responsables de la mort de mon avatar".

Ils se séparèrent alors, mais Dupont avait l'impression d'avoir gagné un nouvel ami. Et il était déterminé à trouver les criminels qui avaient causé tant de chagrin à Clara.

Chapitre 10

Le commissaire Dupont rentra dans sa chambre d'hôtel, épuisé de sa journée de travail. Il s'effondra sur le lit et se mit à penser à tous les indices qu'il avait rassemblés au cours de l'enquête. Il se demanda s'il avait vraiment tout compris de cette histoire de monnaies cryptées et de la façon dont les mafieux les utilisaient pour se financer.

Soudain, il se leva et se dirigea vers le petit coffre-fort qu'il avait apporté avec lui. Il l'ouvrit et en sortit une paire de lunettes qu'il avait spécialement conçues pour sa mission. Il les mit sur son nez et se connecta au métaverse.

Il se retrouva alors dans une ville virtuelle, où il se dirigea vers un bar à la mode. Il s'assit au comptoir et commanda un verre. Au bout de quelques minutes, il se fit aborder par un homme qui lui proposa une affaire juteuse en échange d'un peu de son temps.

Le commissaire, sous son avatar, joua le jeu et suivit l'homme. Il arriva dans une zone où se trouvaient plusieurs mafieux qui s'amusent en volant les cryptomonnaies de leurs victimes. Ils riaient en commentant les affaires qu'ils venaient de réaliser.

Le commissaire Dupont, sous son avatar, engagea alors la conversation. Les mafieux le prirent pour un nouveau venu et commencèrent à lui expliquer leur méthode pour voler les cryptos. Dupont fit semblant de les écouter attentivement, tout en essayant de retenir les informations les plus importantes.

Au bout d'un moment, il décida de s'éclipser et de retourner dans sa chambre d'hôtel. Il se déconnecta du métaverse et enleva ses lunettes. Il s'assit sur le lit et commença à réfléchir à ce qu'il avait appris. Il comprenait maintenant comment les mafieux utilisaient les monnaies cryptées pour financer leur organisation.

Le lendemain matin, il appela Clara pour lui faire part de ses découvertes. Ils se retrouvèrent dans un petit café près de la plage.

Chapitre 11

Le commissaire Dupont avait rejoint Clara dans un petit café de la ville. Ils s'étaient installés à une table en terrasse et avaient commandé deux cafés.

"Alors, Clara, j'ai des nouvelles importantes à te communiquer. Nous avons réussi à remonter la piste des mafieux jusqu'au Luxembourg. Nous avons des éléments qui nous permettent de penser qu'ils ont des comptes dans des banques suisses", annonça Dupont.

"Comment avez-vous fait pour trouver ça ?", s'étonna Clara.

"Nous avons eu de l'aide d'un informaticien. Il a réussi à pirater leur réseau et à récupérer des informations compromettantes", répondit Dupont.

Soudain, le portable de Dupont sonna. Il décrocha et écouta attentivement la voix de l'informaticien qui se trouvait à l'autre bout du fil.

"Je vois, merci pour l'info", dit-il finalement avant de raccrocher.

"Qu'est-ce qui se passe ?", demanda Clara.

"L'informaticien vient de me proposer une solution radicale pour neutraliser les mafieux. Il veut pirater leurs comptes en ligne et transférer leur argent sur des comptes fictifs", expliqua Dupont.

"Et comment va-t-il faire pour ça ?", s'enquit Clara.

"Je ne sais pas exactement. Il m'a parlé d'un programme qu'il a développé. Apparemment, il est capable de pirater n'importe quel compte sans être repéré", répondit Dupont.

"Et vous comptez accepter son aide ?", demanda Clara.

"C'est risqué, mais je crois que c'est la meilleure solution pour les arrêter. Je vais prendre contact avec lui pour qu'il nous explique en détail son plan", répondit Dupont.

Clara hocha la tête. Elle était soulagée de voir que les choses avançaient. Elle avait confiance en Dupont et elle savait qu'il ferait tout pour la protéger.

Ils finirent leur café et se levèrent pour partir. En sortant du café, Dupont se tourna vers Clara et lui sourit.

"Ne t'inquiète pas, on va les arrêter. Et toi, tu vas retrouver ton avatar", dit-il avec conviction.

"Merci, commissaire. Je sais que je peux compter sur vous", répondit Clara en lui souriant à son tour.

Ils se séparèrent et chacun rentra chez soi, en espérant que le plan de l'informaticien fonctionnerait et que les mafieux seraient bientôt mis hors d'état de nuire.

Chapitre 12

Le commissaire Dupont sortit de l'immeuble de la société d'informatique avec un sourire satisfait. Il venait de rencontrer l'informaticien dont il avait entendu parler, un certain Marc. Celui-ci avait accepté de les aider dans leur mission pour démanteler le réseau de la mafia virtuelle. Marc était un jeune homme calme, vêtu d'un pull-over gris et d'un jean délavé. Il avait de grosses lunettes et des cheveux bruns en bataille. Il leur avait expliqué comment il comptait infiltrer le système de la mafia et saboter leurs activités illégales.

"Nous allons attaquer leur portefeuille de cryptomonnaies", avait déclaré Marc en souriant. "Je vais infecter leur système avec un ver informatique qui va leur bloquer l'accès à leurs comptes et rendre leurs fonds inutilisables. Ils vont perdre une grande partie de leur argent et ne pourront pas en récupérer facilement."

Le commissaire Dupont hocha la tête. "Bien, Marc. Je suis satisfait de votre plan. Pouvez-vous nous donner une estimation du temps nécessaire pour le mettre en place ?"

Marc plongea ses yeux derrière ses grosses lunettes et répondit : "Je vais avoir besoin de quelques jours pour écrire le code. Nous devrons également faire une reconnaissance du terrain pour identifier les points d'entrée et de sortie de leur système. Cela prendra du temps, mais je suis confiant que nous pouvons réussir."

Le commissaire Dupont acquiesça et sortit son téléphone portable de sa poche. Il regarda l'écran et vit un appel entrant. Il répondit : "Allo ?"

"C'est Marie, Dupont", dit une voix familière. "Nous avons de nouveaux éléments sur l'affaire. Nous pensons avoir trouvé une piste qui pourrait nous mener directement aux têtes pensantes de la mafia virtuelle. Pouvez-vous nous rejoindre au commissariat immédiatement ?"

Le commissaire Dupont soupira. "Je serai là dans 15 minutes, Marie. Ne bougez pas."

Il raccrocha et se tourna vers Marc. "Désolé, Marc. Nous avons un développement majeur dans l'affaire. Nous devrons peut-être retarder l'opération. Restez en contact avec moi."

Marc acquiesça et se retourna vers son ordinateur portable. Le commissaire Dupont sortit de l'immeuble et se dirigea vers sa voiture. Il avait l'impression que l'affaire prenait enfin une tournure positive.

Chapitre 13

Le clavier du bureau de l'informaticien s'illumine dans la pénombre de la pièce. Ses doigts virevoltent sur les touches du clavier alors qu'il tape frénétiquement des lignes de code.

// INITIALISATION

int main()

{

char* IP = "192.168.0.1"; // adresse IP de la cible

int port = 80; // port de la cible

int socket_desc;

struct sockaddr_in server;

 

scss

Copy code

socket_desc = socket(AF_INET, SOCK_STREAM, 0); // création d'une socket TCP

if (socket_desc == -1) {

    printf("Impossible de créer la socket");

}

 

server.sin_addr.s_addr = inet_addr(IP);

server.sin_family = AF_INET;

server.sin_port = htons(port);

 

// CONNEXION À LA CIBLE

if (connect(socket_desc, (struct sockaddr*)&server, sizeof(server)) < 0) {

    printf("Impossible de se connecter à la cible");

    return 1;

}

 

// ENVOI DU VER

char* payload = "payload"; // ici, le payload serait remplacé par le code du ver

if (send(socket_desc, payload, strlen(payload), 0) < 0) {

    printf("Impossible d'envoyer le payload");

    return 1;

}

 

close(socket_desc); // fermeture de la socket

 

return 0;

}

 

Le code est complexe, mais pour l'informaticien, c'est comme une symphonie, chaque note doit être parfaitement exécutée. Il parcourt chaque ligne de code avec une précision extrême, veillant à ce que chaque instruction soit correcte. Le ver qu'il est en train de coder est une œuvre d'art numérique, capable de se répliquer et de se propager à travers les réseaux de la mafia.

L'informaticien sourit alors qu'il exécute le code, créant ainsi une arme puissante pour lutter contre la corruption et la criminalité organisée.

Chapitre 14

Le commissaire Dupont et l'informaticien, nommé Marc, travaillaient d'arrache-pied pour injecter le ver informatique dans le métaverse utilisé par les mafieux. Louis avait déjà écrit le code du ver, mais ils devaient maintenant le transférer dans le métaverse, ce qui n'était pas une tâche facile.

Ils avaient besoin d'un point d'entrée dans le métaverse, et c'est là que Clara entra en jeu. Elle avait réussi à se faire un nom dans le monde virtuel, et elle avait accès à plusieurs communautés où les mafieux étaient connus pour se rassembler. Clara avait accepté de les aider et leur avait donné accès à un portail qui leur permettrait d'injecter le ver dans le métaverse.

Une fois qu'ils eurent accès au portail, Marc injecta le code du ver dans le système, et ils attendirent patiemment que le ver se propage à travers le réseau. Peu de temps après, ils commencèrent à remarquer des anomalies dans le métaverse. Les avatars des mafieux semblaient se comporter de manière étrange, et certains d'entre eux semblaient avoir été déconnectés du système.

Le ver avait commencé à se propager rapidement à travers le réseau, infectant chaque avatar qu'il rencontrait. Le code du ver était conçu pour voler les cryptomonnaies stockées dans les portefeuilles virtuels des avatars des mafieux. Les avatars infectés semblaient avoir perdu toutes leurs cryptomonnaies en un instant.

Les mafieux commencèrent rapidement à se rendre compte de ce qui se passait et se mirent en colère. Ils commencèrent à chercher qui avait fait cela, mais le ver était si bien caché qu'il était impossible de le trouver. Les mafieux étaient démunis et n'avaient aucun moyen de récupérer leur argent volé.

Le commissaire Dupont et Marc avaient réussi leur mission, et ils étaient heureux de voir que leur plan avait fonctionné. Ils savaient que cela ne mettrait pas fin à la corruption dans le métaverse, mais cela avait au moins envoyé un message clair aux mafieux : ils n'étaient plus intouchables dans le monde virtuel.

Chapitre 14

Les mafieux étaient réunis dans une pièce secrète au cœur d'un bâtiment en apparence banal. Les écrans de contrôle de leur système de sécurité clignotaient frénétiquement, signalant des intrusions sur leur réseau.

L'un des hommes tapait frénétiquement sur son clavier, essayant de comprendre ce qui se passait. "Je ne comprends pas, nos firewalls sont infaillibles, comment est-ce possible?" s'exclama-t-il.

Un autre homme, plus calme, prit la parole: "Il semblerait que nous soyons victimes d'une attaque informatique. Un ver a été injecté dans notre réseau et s'attaque à nos comptes. Nous devons réagir vite avant que nous ne perdions tout."

Pendant que les mafieux paniquaient, les écrans affichaient des lignes de code qui défilaient à toute vitesse, témoignant de l'attaque en cours. Soudain, les chiffres des comptes bancaires des mafieux commencèrent à diminuer à une vitesse alarmante.

Les mafieux étaient horrifiés. Ils avaient été dépouillés par un ennemi invisible. "Mais qui peut bien nous faire ça?" demanda l'un d'eux.

Le calme revint alors qu'un silence de plomb s'installait dans la pièce. Les pirates avaient réussi leur coup et les mafieux avaient subi une perte financière colossale. Ils étaient impuissants face à l'attaque et devaient maintenant trouver une solution pour récupérer leur argent.

Chapitre 15

Alors que les mafieux commençaient à s'inquiéter de leur perte de cryptomonnaies, ils décidèrent de chercher des hackers plus expérimentés en Russie et en Ukraine pour retrouver la source de l'attaque. Ils firent appel à des hackers locaux qui acceptèrent la mission moyennant une forte rémunération.

Les hackers commencèrent à fouiller dans les données, en utilisant des outils sophistiqués pour essayer de remonter jusqu'à la source de l'attaque. Mais alors qu'ils étaient en train de travailler, un autre groupe de hackers, cette fois-ci américains, réussit à s'infiltrer dans leurs systèmes.

Les hackers américains avaient été alertés de l'attaque par les enquêteurs français, qui avaient réussi à localiser la base des mafieux dans le metaverse. Ils avaient décidé d'intervenir pour protéger les intérêts américains, car certaines des cryptomonnaies volées appartenaient à des entreprises américaines.

Les hackers américains lancèrent leur propre attaque contre les mafieux, ce qui causa de nouveaux problèmes pour les hackers russes et ukrainiens. Les mafieux furent dépassés par la situation, car ils n'avaient pas les compétences techniques pour faire face à ces attaques.

Finalement, les hackers russes et ukrainiens abandonnèrent leur mission, et les mafieux furent forcés de se tourner vers d'autres moyens pour retrouver leur argent. Ils commencèrent à soupçonner que leur propre réseau avait été infiltré par un traître et commencèrent à se méfier les uns des autres.

Chapitre 16

Le commissaire Dupont et Marc étaient assis dans une pièce sombre et éclairée uniquement par les écrans d'ordinateur. Ils observaient les tentatives des mafieux pour reprendre le contrôle de leur argent.

Sur l'écran principal, on pouvait voir une série de fenêtres qui clignotaient en rouge. Chacune d'entre elles représentait une tentative des mafieux pour reprendre le contrôle de leur argent. Pour l'instant, toutes avaient échoué, mais le commissaire Dupont savait que les mafieux n'allaient pas abandonner si facilement.

"Tu es sûr que tu as tout prévu ?" demanda Dupont à Marc.

"Oui, je suis confiant", répondit Marc en tapant rapidement sur son clavier. "Le ver est bien en place et il est pratiquement impossible à détecter. Les mafieux ne vont jamais pouvoir retrouver leur argent."

Sur l'écran, une nouvelle fenêtre clignota en rouge. Cette fois, elle était différente des autres. Elle était plus grande et elle clignotait plus rapidement. Marc l'examina attentivement.

"Ils ont envoyé des hackers de Russie et d'Ukraine", dit-il. "Ils ont probablement découvert que le ver était d'origine française et ils cherchent à remonter jusqu'à nous. Mais nous avons encore une longueur d'avance."

Il tapa rapidement sur son clavier et une série de chiffres et de lettres apparurent sur l'écran.

"Voilà, c'est fait", dit-il. "J'ai mis en place un réseau de serveurs qui vont rendre la traque pratiquement impossible. Les mafieux ne pourront jamais remonter jusqu'à nous."

Dupont acquiesça en silence. Il était impressionné par la compétence de Marc. Il savait que sans lui, ils n'auraient jamais réussi à mener cette opération à bien.

Soudain, le portable de Dupont sonna. Il décrocha.

"Oui ?"

"C'est l'informaticien", dit une voix à l'autre bout du fil. "Le ver a fonctionné à merveille. Les mafieux ont perdu une fortune et ils sont en train de se retourner vers les hackers de l'Est. Mais j'ai encore mieux : je peux leur envoyer un cheval de Troie qui va les laisser complètement à découvert."

Dupont réfléchit un instant. Il savait que c'était risqué, mais il était déterminé à mettre fin à cette affaire une fois pour toutes.

"Fais-le", dit-il en raccrochant. "On n’a plus rien à perdre."

Chapitre 17

Le commissaire Dupont, l'informaticien Marc et Clara avaient fait la une de tous les journaux pour leur travail exceptionnel en tant qu'enquêteurs pour le compte du Luxembourg. Le Premier ministre, Xavier Bettel, avait été impressionné par leur travail acharné pour démanteler un réseau mafieux qui avait été actif dans son pays. Il avait décidé de les faire citoyens d'honneur du Luxembourg, en reconnaissance de leur travail.

Lorsqu'ils avaient été informés de la nouvelle, le commissaire Dupont, Marc et Clara avaient été honorés et émus. Ils avaient été invités à une cérémonie officielle au Palais grand-ducal, où ils avaient été présentés au Premier ministre Bettel.

Au cours de la cérémonie, Bettel avait exprimé sa gratitude pour leur travail et leur avait remis des médailles en signe de reconnaissance. Il leur avait également proposé de devenir des ambassadeurs de bonne volonté de l'ONU pour aider à éduquer les gens aux risques des univers virtuels.

« Vous avez fait un travail incroyable pour notre pays », avait déclaré Bettel. « Et nous sommes convaincus que vous pouvez faire une différence dans le monde entier en aidant les gens à comprendre les risques des univers virtuels. C'est pourquoi nous aimerions vous proposer de devenir des ambassadeurs de bonne volonté de l'ONU. »

Le commissaire Dupont, Marc et Clara avaient tous été touchés par la proposition et avaient accepté avec gratitude. Ils avaient été ravis de pouvoir aider à sensibiliser les gens aux dangers des univers virtuels et de contribuer à faire du monde un endroit plus sûr.

La cérémonie s'était terminée par un dîner au cours duquel Bettel avait discuté avec eux des initiatives de son gouvernement pour renforcer la sécurité dans le cyberespace. Ils avaient également discuté de leur expérience et de leur travail dans le métaverse, et avaient convenu que la coopération internationale était essentielle pour combattre les cybermenaces.

Le commissaire Dupont, Marc et Clara étaient repartis du Luxembourg avec un sentiment de satisfaction et de fierté. Ils savaient que leur travail avait été reconnu et qu'ils avaient la possibilité d'aider à améliorer la sécurité en ligne pour tous.

Epilogue

Le jour de la cérémonie aux Nations unies, Clara, Marc et le commissaire Dupont étaient assis dans la salle de conférence, écoutant les différents discours. Soudain, des coups de feu retentirent. Tout le monde se mit à courir et à se précipiter vers les sorties. Le trio fut rapidement pris en charge par les gardes de sécurité de l'ONU et emmené dans une pièce sécurisée.

Les nouvelles arrivèrent rapidement : des membres de la mafia irlandaise de New York avaient essayé de les assassiner. L'attentat avait été déjoué grâce à la vigilance des gardes de sécurité de l'ONU. Les trois étaient choqués mais indemnes. Cependant, l'incident avait gravement secoué le monde entier. Les dirigeants mondiaux réunis aux Nations unies condamnèrent l'attentat et promirent de renforcer la sécurité autour des personnalités publiques.

Malgré cet incident, Clara, Marc et le commissaire Dupont se virent décerner le prix Nobel de la paix quelques mois plus tard. Ils avaient travaillé sans relâche pour mettre fin aux activités criminelles des mafias virtuelles et avaient réussi à sensibiliser le public aux dangers du monde virtuel. Leur travail avait permis de sauver de nombreuses personnes de l'arnaque et de la corruption, et de faire prendre conscience aux autorités de la nécessité de réglementer les monnaies virtuelles.

Le trio était honoré et ému de recevoir cette distinction prestigieuse. Ils continueraient leur travail pour sensibiliser le public aux dangers du monde virtuel, et pour aider les autorités à lutter contre les activités criminelles en ligne. Ils espéraient que leur travail contribuerait à rendre le monde un peu plus sûr, un peu plus juste et un peu plus pacifique.