Comment définiriez-vous votre rapport à la mode?
Louise Bache. – «Assez détaché. J’aime les vêtements, mais je ne suis pas les nouvelles modes de près.
– «La mode est, pour moi, un moyen et non pas un but. Je décrirais donc ce rapport comme pragmatique. Néanmoins, j’accorde une certaine importance, voire une importance certaine, au soin.
Quel a été votre premier achat mode significatif ?
L.B. – «Un blazer noir, court, à épaulettes, dans mon magasin parisien préféré: Héroïnes.
L.M. – «En 1990, les Nike Air Jordan, en blanc. En tant que basketteur passionné, c’était à la fois un plaisir utile et moderne. Malheureusement, je ne les ai pas gardées, mais je les ai portées jusqu’à ce qu’elles soient déchiquetées.

Le style de Louise Bache. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne)
L’accessoire dont vous ne pouvez pas vous passer en hiver?
L.B. – «Un couvre-chef ! Chapka, bonnet, bandeau, chapeau... j’en ai plusieurs et j’adore. En plus de tenir chaud, il paraît que j’ai une tête à chapeau, alors...
L.M. – «Les sous-vêtements fonctionnels, lors de sorties sportives. Cela me garde au sec et au chaud. Ce qui fait que je n’ai pas d’excuse pour ne pas sortir par temps maussade.
Votre combinaison tenue/accessoire préférée? Pourquoi?
L.B. – «Je suis une grande fan de boucles d’oreilles, donc tout ce qui peut se mettre avec! Par exemple, une tenue cintrée à la taille et une belle paire de boucles d’oreilles pendantes.
L.M. – «La ceinture assortie aux chaussures est un must. Cela fait soigné et un minimum habillé, tout en restant discret. Et en plus, ça maintient le pantalon en place, donc on gagne sur tous les plans…
Votre no-go absolu?
L.B. – «Je n’arrive absolument pas à porter des vêtements type jogging de manière esthétique (bien qu’hyper confortables !).
L.M. – «Avoir de l’eau dans la cave. Même s’il me semble voir de telles tendances apparaître, c’est une chose à laquelle je ne peux pas m’identifier. Cela me fait mal aux yeux et me fait grincer des dents.
Une adresse shopping coup de cœur au Luxembourg?
L.B. – «Par conviction, j’essaie le plus possible de me tourner vers des friperies. Donc, les dressings de mes amies, et tout magasin / pop-up secondhand.»
L.M. – «Patrice Parisotto Design; pas pour mon propre plaisir, mais pour celui d’offrir. Une orfèvre luxembourgeoise passionnée qui réalise même des vœux personnalisés. Je peux ainsi apprécier la mode et l’élégance par procuration.»

Le style de Laurent Muller. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne)
Cet article a été rédigé pour parue le 26 janvier 2022.
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