La Grande-Duchesse a fait l’objet d’une interview diffusée dans l’émission emblématique Good Morning America, sur la chaîne ABC. (Illustration: Capture d’écran/ABC)

La Grande-Duchesse a fait l’objet d’une interview diffusée dans l’émission emblématique Good Morning America, sur la chaîne ABC. (Illustration: Capture d’écran/ABC)

L’émission Good Morning America, de la chaîne américaine ABC, s’intéresse aux monarchies à travers le monde au 21e siècle. Et s’est arrêtée au Luxembourg pour une interview de la Grande-Duchesse Maria Teresa au château de Berg.  

Le rôle des monarchies au 20e siècle, leur influence, leurs combats… Ce sont quelques-uns des thèmes développés dans une série de reportages de la célèbre émission américaine Good Morning America, de la chaîne ABC. Et c’est dans ce cadre que la en était l’invitée ce mardi 27 avril.

Face à la présentatrice Maggie Rulli dans les coulisses du château de Berg à Colmar-Berg, la Grande-Duchesse a évoqué la «responsabilité particulière» d’appartenir à une famille royale. «C’est une vie où l’on renonce à sa liberté, c’est une vie d’engagement envers son pays, et surtout de service.»

Et de pression. «Nous avons tendance à donner l’impression que l’appartenance à une famille royale est très tapis rouge, diadèmes et belles choses. Mais je peux vous dire qu’avoir une tiare sur la tête pendant cinq heures lors d’un dîner d’État peut vous donner un sérieux mal de tête», a-t-elle confié. Ce fut un défi, a-t-elle ajouté, de passer de personne privée à personne publique. «Quand vous entrez dans une famille royale, vous épousez aussi l’institution, et vous épousez le pays.»

Séquence incontournable: l’évocation de sa rencontre avec le , alors héritier. «Je me suis dit que la pire chose à faire était de tomber amoureuse d’un prince héritier. Quel problème! La minute où je l’ai vu, j’ai su que c’était lui.»

La Grande-Duchesse a également évoqué les causes qui lui tiennent à cœur comme l’initiative , qui a permis d’attirer l’attention de la communauté internationale sur les survivants de violences sexuelles en temps de guerre et dans d’autres situations de vulnérabilité. 

Cette interview a été relayée par de nombreux médias européens, et sur des sites spécialisés. Après le compte personnel Twitter de la Grande-Duchesse et sa page Facebook, les réseaux sociaux et le site officiels de la Cour ont à leur tour donné écho à cette interview.