Muriel Bouchet, directeur de la Fondation Idea, et son équipe sont à la recherche d’un économiste pour venir compléter l’équipe du think tank de la Chambre de commerce. (Photo: Romain Gamba/Maison Moderne/Archives)

Muriel Bouchet, directeur de la Fondation Idea, et son équipe sont à la recherche d’un économiste pour venir compléter l’équipe du think tank de la Chambre de commerce. (Photo: Romain Gamba/Maison Moderne/Archives)

Le think tank de la Chambre de commerce est à la recherche d’un économiste. Les candidats ont jusqu’au 26 février pour déposer leur CV et tenter d’attirer l’attention de Muriel Bouchet et de son équipe. 

L’année dernière, Narimène Dahmani et Thomas Valici ont quitté la Fondation Idea pour poursuivre leurs parcours professionnels sous d’autres cieux. Passant de cinq à trois économistes et un chargé de communication, le think tank de la Chambre de commerce s’est donc mis à la recherche de deux nouveaux économistes.

«Ce n’est pas évident de trouver les profils pointus que l’on recherche», a souligné Muriel Bouchet, directeur de la Fondation Idea. Il en a pourtant trouvé un premier, puisqu’il accueillera une nouvelle économiste, Ioanna-Claudia Pop, dès le 1er février prochain.

Pour le second poste ouvert, : l’étape la plus facile dans le parcours de recrutement. «Les candidats qui seront retenus devront passer une épreuve écrite. La dernière fois, cela a duré 4h. Puis ils passeront des entretiens avec l’ensemble de l’équipe», a précisé Muriel Bouchet.

Un équilibre entre expertise et communication

La Fondation Idea ne recherche pas un profil avec uniquement de fortes compétences en économie. La communication et l’aisance en public sont tout aussi importantes, selon son directeur. «Nous recherchons un profil expérimenté ou un profil junior, mais très bien formé. Le fond et l’expertise sont très importants et nous attendons une rigueur de la part des candidats. D’un autre côté, nous recherchons également une personne à l’aise en matière de communication. Il doit être capable d’expliquer simplement des sujets complexes, participer à nos matinales, à des conférences et à l’organisation d’événements. C’est donc un équilibre entre expertise et communication que l’on recherche», a-t-il précisé.

Dans un premier temps, les candidats ne doivent pas justifier d’une expertise dans un domaine en particulier, mais cela ne sera pas complètement ignoré. «On va être pragmatiques. Notre choix ne va pas se faire en fonction d’un domaine de spécialisation. Le marqueur est en premier lieu axé sur cet équilibre entre l’expertise et la communication. Mais évidemment, si un profil possède des connaissances dans un domaine spécifique dont nous ne disposons pas, cela sera un plus. Si l’on trouve une personne qui maîtrise le domaine de l’énergie avec des compétences en tant qu’ingénieur et économiste, le profil sera intéressant pour des raisons évidentes. Idem pour un profil avec des compétences pointues en matière de finance ou d’un remarquable macro-économiste qui voit son sujet de manière originale. Mais de manière générale, nous n’avons pas une recherche préconçue avec des domaines précis», a terminé Muriel Bouchet.