Partenariat humain/robot dans le secteur RH. Photo: Microtis

Partenariat humain/robot dans le secteur RH. Photo: Microtis

Le digital, en permettant une meilleure gestion de la donnée et l’automatisation de nombreux processus, doit permettre au responsable des ressources humaines de prendre de la hauteur, pour mieux accompagner la transformation de l’organisation.

Les nouvelles possibilités offertes par la technologie transforment considérablement les organisations. Aujourd’hui, de nombreux processus peuvent être largement automatisés par le déploiement de robots. Ces derniers démontrent toute leur efficacité dans l’exécution de multiples tâches répétitives, chronophages, qui n’impliquent pas forcément beaucoup de réflexion.

Une transformation sans précédent

Dès lors, la place de l’humain au cœur de l’entreprise évolue. Libérés des tâches fastidieuses, les collaborateurs sont invités à se concentrer sur des enjeux plus stratégiques, à plus forte valeur ajoutée. Ce phénomène devrait s’amplifier avec l’intégration progressive de solutions d’intelligence artificielle au cœur des processus business. On s’attend donc à une transformation de grande ampleur à l’échelle des organisations dans les années à venir. Les défis sont nombreux et il appartiendra .

Travailler avec des robots

Au cours des 20 prochaines années, l’automatisation devrait engendrer la disparition de 14 % des emplois, selon l’OCDE. De plus, 31,6 % des postes seraient profondément transformés par la robotisation. Mais cette transformation devrait créer de nouveaux emplois, bien plus nombreux que ceux détruits. Le hic est que les compétences dont on aura besoin demain ne sont pas les mêmes que celles disponibles actuellement sur le marché de l’emploi. Un des principaux défis qui attend les gestionnaires des ressources humaines a donc trait à l’évolution des compétences.

L’entreprise du futur, qui s’appuiera sur des robots et l’intelligence artificielle, aura toujours besoin de talents faits de chair, d’os, et dotés de matière grise. Demain, les compétences devront être en mesure de superviser ces outils technologiques, être capables de travailler avec. Il leur faudra davantage de compétences en informatique. Plus encore, l’humain devra mettre ses incroyables capacités intellectuelles au service de l’amélioration du business, en permettant à de nouvelles idées d’émerger et de les concrétiser. Il devra aussi faire preuve d’une grande capacité d’adaptation.

Accompagner la transition des compétences

Au regard de l’ampleur du changement, si les entreprises ne veulent pas se retrouver coincées, c’est à elles d’accompagner cette transition. Trouver les talents dont on aura besoin n’aura rien d’une sinécure et coûtera certainement extrêmement cher. Dans ce contexte, donc, le DRH doit s’élever, pour mieux envisager comment il est possible dès à présent de faire évoluer les talents pour satisfaire les besoins de demain.

À cette fin, , en commençant par automatiser les processus qui peuvent l’être, en mettant en place des outils de suivi dynamiques. Aujourd’hui, des , comme la suite Gesper de Microtis, permettent à la gestion des ressources humaines de gagner beaucoup de temps dans le , du , des ou encore des . Tout en lui octroyant une meilleure maîtrise de la donnée, ces solutions délestent la GRH d’un travail administratif fastidieux.

Transformer l’organisation, faciliter la collaboration

Il y a fort à parier que les entreprises de demain seront plus décentralisées qu’aujourd’hui, avec un meilleur partage du pouvoir. Les organisations qui feront la différence seront celles qui parviendront à mieux organiser la collaboration en leur sein. La responsabilisation et la confiance, au service d’une plus grande autonomie des collaborateurs, ont le mérite de renforcer la productivité. Elles facilitent aussi l’émergence de nouvelles idées. Ce sont en outre des attentes importantes pour les plus jeunes générations de travailleurs. Nos structures, très centralisées, vont devoir s’ouvrir. Et il appartient, là encore, à la gestion des ressources humaines, avec le support de la direction, de montrer l’exemple.

Commencer par développer une vision

Cela n’a rien d’anodin. L’être humain, tout d’abord, craint le changement, préfère demeurer dans sa routine. Cependant, l’entreprise qui ne se dotera pas de la capacité d’évoluer rapidement est vouée à se retrouver distancée par ses concurrents, à un moment donné. Accompagner le changement, c’est d’abord pouvoir développer une vision claire et être en mesure de la partager. , bien éloignées des enjeux administratifs, pour emmener les équipes sur la voie du changement, leur donner envie d’aller de l’avant.

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