Ahoua Bakayoko: «Celui ou celle qui n’a pas commis d’erreurs dans son aventure entrepreneuriale n’a alors pas eu d’audace.» (Photo: Studio Andrea)

Ahoua Bakayoko: «Celui ou celle qui n’a pas commis d’erreurs dans son aventure entrepreneuriale n’a alors pas eu d’audace.» (Photo: Studio Andrea)

En amont de l’événement «Start-up Stories: Round 4» organisé par le Paperjam Club en partenariat avec Startup Luxembourg et parrainé par la Bil, le mercredi 13 novembre à The Office, l’un des start-upper, Ahoua Bakayoko (Miss Bak), nous explique sa vision de l’entreprise.

D’où vous est venue l’idée de votre start-up?

Ahoua Bakayoko. – «L’amour d’une mère pour son fils (le mien) et la découverte de la face cachée des cosmétiques que nous utilisions.

Quelles sont les qualités nécessaires pour lancer sa start-up?

«Audace, endurance, empathie.

On entend souvent qu’il est essentiel de faire des erreurs. Qu’en pensez-vous?

«L’erreur est avant tout humaine et permet de s’améliorer. Celui ou celle qui n’a pas commis d’erreurs dans son aventure entrepreneuriale n’a alors pas eu d’audace.»

Vous pouvez vous inscrire à l’événement «Start-up Stories: Round 4» sur le site du  .  

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