«Une de mes citations préférées, qui est un peu ma ligne de conduite de vie, est celle de Nelson Mandela ‘Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends’. Je crois que cela résume tout…» (Photo: Hocapa)

«Une de mes citations préférées, qui est un peu ma ligne de conduite de vie, est celle de Nelson Mandela ‘Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends’. Je crois que cela résume tout…» (Photo: Hocapa)

En amont de l’événement «Start-up Stories: Round 5» organisé par le Paperjam Club en partenariat avec Lorntech et parrainé par la Bil, jeudi 21 novembre au 112 (Terville), l’une des start-upper, Maud Colin-Noesser (Hocapa), nous explique sa vision de l’entreprise.

D’où vous est venue l’idée de votre start-up?

Maud Colin-Noesser. - «Déjà pendant mes études, j’ai toujours eu un côté entreprenant, pour moi entreprendre c’est créer de nouvelles choses. Lancer un nouveau projet au sein d’une association, c’est déjà un pas vers l’entrepreneuriat. J’ai réalisé, pendant mes études en école de commerce, un cursus orienté nouvelles technologies et entrepreneuriat, tout en lançant ma première activité professionnelle: du développement web & communication en auto-entreprise…

Hocapa, c’est avant tout une histoire personnelle. Je suis une passionnée de chevaux depuis toute petite, propriétaire aujourd’hui de deux chevaux et l’un des deux a eu pas mal de problèmes de santé… À ce moment-là, je me suis rendu compte du manque de communication entre praticiens et du manque de numérisation du secteur. C’est en discutant avec mon mari et l’ostéopathe de mon cheval que l’idée a commencé à prendre forme… Cela fait plus d’un an que nous avons commencé à travailler dessus avec mon mari.

De l’idée à sa concrétisation, il n’y a qu’un pas… et pourtant. Quel a été l’élément déclencheur de votre aventure entrepreneuriale?

«Un pas que l’on hésite longtemps à franchir… Finalement, ce n’est pas un élément seul qui a déclenché cette nouvelle aventure, mais la conjoncture de plusieurs… Bien sûr, en premier, c’est cette envie personnelle de créer quelque chose ensemble, en couple, de se créer notre propre avenir. Il y a eu également la conjoncture professionnelle; depuis la fin de mon contrat salarié il y a un an, je savais que c’était le moment pour développer mes envies d’entreprise.

Comme je l’ai dit, cela faisait un an que nous avions commencé à travailler sur le sujet de cette application, mais en ‘sous-marin’ si je puis dire, sans penser véritablement au côté commercialisation, et puis il y a eu la rencontre avec Martin de The Pool, au hasard d’une conférence à Bliiida, et c’est là que tout a vraiment commencé… Avec Frédéric, on s’est dit ‘OK, c’est maintenant, on s’y met à fond’.

On entend souvent qu’il est essentiel de faire des erreurs. Qu’en pensez-vous?

«Une de mes citations préférées, qui est un peu ma ligne de conduite de vie, est celle de Nelson Mandela ‘Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends’. Je crois que cela résume tout…

Tout ce que l’on fait dans la vie, que ce soit d’un côté personnel, d’un côté sportif ou professionnel, on ne gagne pas à tous les coups, mais il faut toujours en retirer du positif, c’est ainsi que l’on avance petit à petit! Si je poursuis avec les mots de Nelson Mandela, je dirais que cela se complète avec ‘Après avoir gravi une haute colline, tout ce qu’on découvre, c’est qu’il y en a encore beaucoup d’autres à gravir’.»

Vous pouvez vous inscrire à l’événement «Start-up Stories: Round 5» sur le site du    

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