La Maison-Blanche a adressé un message exprimant ses condoléances aux Luxembourgeois. (Photo: Shutterstock)

La Maison-Blanche a adressé un message exprimant ses condoléances aux Luxembourgeois. (Photo: Shutterstock)

Le décès du Grand-Duc Jean a suscité une vive émotion au Luxembourg. Mais aussi au niveau international. Les hommages et messages de condoléances arrivent de Belgique, de France et même des USA.

La Cour de Belgique, très liée à la famille grand-ducale, a été une des premières à faire part de sa profonde tristesse suite à l’annonce du décès du Grand-Duc Jean.

Le Premier ministre belge Charles Michel a lui aussi fait part de ses condoléances.

La Maison-Blanche a aussi adressé un message de soutien au peuple luxembourgeois et à la famille du Grand-Duc Jean:

«Au nom du peuple américain, la Maison-Blanche tient à exprimer ses condoléances aux Luxembourgeois et à la famille du Grand-Duc Jean suite à son décès. Le Grand-Duc Jean était un grand ami des États-Unis. Alors qu’on se rapproche du 75e anniversaire du D-Day (débarquement), nous nous rappelons que le Grand-Duc Jean a combattu aux côtés des Américains et des Alliés pendant la campagne de Normandie, la libération de la Belgique et pendant l’opération ‘Market Garden’. Ses contributions à la paix, la sécurité et la prospérité pendant et après la Deuxième Guerre mondiale feront à jamais partie de son honorable héritage. Sa voix pour le Luxembourg et sa place en tant qu’ami des États-Unis ne seront jamais oubliées.»

L’ambassade des États-Unis au Luxembourg a également fait part, dans un autre message, de sa tristesse et de son admiration pour l’action du souverain disparu.

Le maire de Nancy, Laurent Hénart, a aussi fait part de la douleur des Nancéens. Tandis que Dominique Gros a évoqué dans un message «un homme d’engagement, proche du peuple», dont les qualités personnelles et la grandeur d’âme étaient mises au service de son pays.

Jean Rottner, président de la région Grand Est, a aussi fait part de sa tristesse via Twitter et par un communiqué de presse.

Aucun message n’était cependant encore parvenu de l’Élysée français ou de la Chancellerie allemande.