L’actuelle ministre de la Justice, Sam Tanson (déi Gréng) fait figure de favori pour devenir la tête de liste nationale du parti lors des prochaines élections législatives. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne/Archives)

L’actuelle ministre de la Justice, Sam Tanson (déi Gréng) fait figure de favori pour devenir la tête de liste nationale du parti lors des prochaines élections législatives. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne/Archives)

Réuni en congrès samedi 25 février, déi Gréng a adopté une modification de ses statuts lui permettant d’avoir une tête de liste nationale représentant le parti lors des élections législatives. Les élections communales étaient aussi à l’ordre du jour, avec l’adoption du programme-cadre.

Les statuts de déi Gréng permettent désormais à celui-ci de présenter une tête de liste nationale pour les élections législatives. Le parti réuni en congrès samedi a adopté la résolution permettant de modifier les statuts en ce sens, et ce à une «très large majorité», se réjouit le coprésident de déi Gréng, .

À l’origine, les statuts ne prévoyaient pas de tête de liste nationale, mais seulement deux têtes de liste au niveau de chaque circonscription. Mais, alors que ses principaux concurrents ont désigné leur tête de liste respective, à savoir et et que , déi Gréng

Pour déi Gréng, la prochaine étape sera de présenter les huit candidats têtes de liste de chaque circonscription, ce qui aura lieu dans le courant du mois de mars. Puis, parmi eux, une tête de liste nationale sera proposée à la fin du mois de mars par la commission électorale du parti, une proposition qui devra être validée lors d’un congrès extraordinaire à la majorité des 3/5e.

Le nom de l’actuelle ministre de la Justice, , poussé par le vice-Premier ministre, (déi Gréng), fait figure de très grand favori.

Les élections communales ont aussi été à l’ordre du jour du congrès. Les membres du parti ont ainsi adopté à l’unanimité le programme électoral cadre pour les élections communales. Celui-ci constituera une «base et une inspiration pour les sections locales, à adapter à chaque contexte spécifique», explique Meris Sehovic. Une quarantaine de programmes électoraux locaux seront par la suite élaborés afin de correspondre au mieux aux spécificités de chaque commune.