Cyril Alvarez-Pereyre: «Le choix du Paperjam Club était naturel étant donné son dynamisme, ainsi que la diversité et la qualité de ses membres. C’est une belle synthèse de ce que le Luxembourg a à offrir.» (Photo: Oriskany Sàrl)

Cyril Alvarez-Pereyre: «Le choix du Paperjam Club était naturel étant donné son dynamisme, ainsi que la diversité et la qualité de ses membres. C’est une belle synthèse de ce que le Luxembourg a à offrir.» (Photo: Oriskany Sàrl)

Le Paperjam Club accueille un nouveau membre: Oriskany. Présentation en trois questions.

Pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

Cyril Alvarez-Pereyre. – «Oriskany est une société de recherche dédiée aux systèmes complexes, ces ensembles constitués d’un grand nombre de participants en interaction permanente, ce qui rend les comportements de ces systèmes difficiles à prévoir.

Nous travaillons dans deux domaines spécifiques, la finance de marché et l’agroécologie:

- dans la finance de marché, nos méthodes et outils permettent à nos clients institutionnels de créer ou améliorer leurs stratégies d’investissement;

- dans l’agroécologie, nous œuvrons, en partenariat avec des instituts de recherche majeurs, à la nécessaire transition vers une agriculture saine et durable, pourvoyeuse de santé et d’emploi.

Vous venez de rejoindre le Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Le choix du Paperjam Club était naturel étant donné son dynamisme, ainsi que la diversité et la qualité de ses membres. C’est une belle synthèse de ce que le Luxembourg a à offrir, en particulier dans notre cœur de métier des acteurs de la gestion et de l’investissement.

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«La théorie financière classique comme l’agriculture intensive sont aujourd’hui en crise: alors même que les marchés financiers et la nature sont deux formidables exemples de systèmes complexes, ils sont encore trop souvent abordés de manière réductrice et déterministe.

Nous souhaitons donc contribuer au changement de paradigme nécessaire, afin que la finance comme l’agriculture puissent redevenir durables et contributives, et espérons rencontrer, grâce au Paperjam Club, les énergies et volontés qui partagent ce souhait.»