Le lauréat, Dominik Berg (Photo: Umicore)

Le lauréat, Dominik Berg (Photo: Umicore)

Le physicien Dominik Berg (Photo) s’est vu décerner le prix scientifique Umicore, d’une valeur de 10 000€, pour sa thèse de doctorat innovante dans le domaine des cellules photovoltaïques en couches minces. Au total, 35 travaux provenant de toute l’Europe avaient été proposés. Il a été soutenu dans ses activités de recherche innovantes par le laboratoire photovoltaïque de l’Université du Luxembourg, financé par le programme ATTRACT du Fonds National de la Recherche du Luxembourg. Le Dr. Berg a travaillé pendant quatre ans au sein de l’université. Sa thèse de doctorat était supervisée par le Dr. Phillip Dale et le Dr. Susanne Siebentritt.

«Je suis extrêmement honoré de recevoir ce prix, qui ne fait que me conforter dans mon envie de poursuivre dans la recherche. Je crois que mon travail n’aurait pas pu rencontrer le même succès sans les nombreuses discussions très fructueuses que j’ai échangées avec mes directeurs de thèse. Leur porte était toujours ouverte, ce pour quoi je leur suis extrêmement reconnaissant. Ils m’ont encouragé à m’écarter du programme d’expériences standard et à "m’amuser" dans le laboratoire», a déclaré le Dr. Berg.

«Nous sommes ravis de décerner le prix scientifique Umicore 2013 à Dominik pour sa brillante thèse de doctorat. Ce prix me tient particulièrement à cœur, car il récompense la recherche scientifique à très haut niveau et contribue à notre mission visant à développer des matériaux pour les technologies propres», a déclaré pour sa part Marc Grynberg, administrateur délégué d’Umicore.

Le Laboratoire de Photovoltaïque de l’Université du Luxembourg abrite un groupe de chercheurs qui s’emploie à inventer de nouveaux matériaux et processus pour les cellules solaires. Le laboratoire cherche également à affiner la compréhension physique des matériaux et interfaces présents dans ces cellules solaires.

Le Dr. Berg poursuit à présent ses activités de recherche sur les cellules photovoltaïques en couches minces au sein de l’Institute of Energy Conversion de l’université du Delaware, qui travaille en étroite relation avec le laboratoire photovoltaïque de l’Université du Luxembourg.