Depuis 1951, c’est avec un même enthousiasme et une volonté d’entreprendre inchangée que l'Ordre des Experts-Comptables représente, surveille et protège la profession. L’OEC gère et anime aujourd’hui un réseau de plus de 1.000 experts-comptables, employant plus que 8.000 personnes au Luxembourg.

Les nouvelles attentes des entrepreneurs, l'évolution rapide de l'environnement juridique et réglementaire, l'accélération de la mondialisation de l'économie, l'exigence d'une éthique forte dans le domaine des affaires, sont autant de facteurs qui placent les fonctions comptables et financières au sens large au cœur de l'actualité économique.

Auteur et acteur de son époque, l’OEC intervient dans de nombreux projets concernant la profession qu’il défend, le tissu économique luxembourgeois et les petites et moyennes entreprises.
Ainsi, le 30 juin dernier, lors de l’Assemblée Générale qui marquait ses 60 ans d’existence, l’OEC a organisé une conférence sur le fichier audit informatisé (AED) FAIA, introduite par Romain Heinen, Directeur de l’Administration de l’Enregistrement et des Domaines.

De même, la profession est partie prenante du cadre renforcé de lutte contre le blanchiment d'argent et contre le financement du terrorisme, mis en œuvre au Luxembourg. A ce titre, L’OEC, en tant qu’autorité autorégulée, a renforcé le cadre du contrôle confraternel, adopté de nouvelles procédures de contrôle et créé un réseau de contrôleurs spécialisés, dirigés par un comité consultatif.

«Nous sommes particulièrement sensibles à ces défis de dimension internationale et notre profession, sous l’égide de l’OEC, s’est fortement impliquée et est prête à s’investir plus encore dans les travaux relatifs à la mise en œuvre et à l’évolution du droit comptable», explique Marc Meyers, président de l’Ordre des Experts- Comptables. «Dans un contexte en constante mutation, il est à prévoir que toutes les facettes de notre profession seront de plus en plus sollicitées par les entreprises et que la comptabilité s'affirmera davantage comme la langue internationale des affaires!» conclue-t-il.