Suite ou fin, mystère. Le dossier Schleck, du nom du vice-président du Syndicat professionnel de la force publique visé par une mutation après avoir dénoncé des manquements dans l’armée luxembourgeoise, n’est toujours pas refermé.
Début janvier, pour calmer le jeu, le ministre de la Défense (Déi Gréng) annonce que le major Christian Schleck ne sera pas muté et conservera son poste au bureau de recrutement de l’armée… mais qu’il ne s’occupera plus de la communication.
Un mois plus tard, après avoir demandé la révocation du général Alain Duschène, le syndicat réclame non seulement ce départ, mais aussi celui du ministre de la Défense et du ministre délégué à la Défense (Déi Gréng).
Dans l’intervalle, le chef d’état-major des armées, nommé à ce poste en 2017, avait donc demandé et obtenu sa démission. Un départ à la retraite, affirment certaines sources.
Le nom de son successeur n’est pas connu.