Les soft skills, des compétences qui s’apprennent.  (Photo: Berlitz)

Les soft skills, des compétences qui s’apprennent.  (Photo: Berlitz)

La digitalisation impacte chaque organisation, chaque collaborateur. Pour faire face à cette transformation, les employeurs sont à la recherche de compétences spécifiques. Des compétences personnelles et comportementales, appelées «soft skills», et pour lesquelles il est possible de se former.

Les outils numériques, l’intelligence artificielle et l’automatisation des processus s’immiscent dans toutes les organisations, quel que soit leur domaine d’activité, quelle que soit leur taille. Bien intégrées, ces nouvelles technologies peuvent apporter une réelle plus-value à l’entreprise et à ses collaborateurs. Libérés de certaines tâches peu valorisantes, répétitives ou chronophages, ceux-ci peuvent se consacrer à des projets à plus haute valeur ajoutée, davantage stimulants, mais qui nécessitent également de disposer de certaines compétences particulières. Dans ce contexte en mutation, les employeurs sont donc aujourd’hui, plus que jamais, à la recherche de ressources humaines au profil spécifique, capables de s’adapter à cette évolution digitale inévitable. «Ainsi, au-delà des compétences métiers, les aptitudes personnelles sont désormais particulièrement scrutées par les recruteurs», souligne Linda Branig, Directrice commerciale & marketing de Berlitz language & business training à Luxembourg.

Dans un monde en perpétuelle évolution, plus que le bagage technique, c’est la capacité à s’adapter, l’agilité et la flexibilité qui se révèlent cruciales. D’autre part, parvenir à gérer une équipe et à l’accompagner sur ce chemin du changement, en faisant preuve de leadership et d’écoute, est primordial. Réussir à communiquer et à interagir efficacement avec différents publics figure aussi parmi les aptitudes les plus recherchées.

Si ces compétences sont essentiellement liées à la personnalité et au comportement de chacun, elles peuvent également s’acquérir et se renforcer au fil du temps. Pour rester performantes et compétitives, de plus en plus d’entreprises offrent donc la possibilité à leurs collaborateurs de se former à ces compétences transversales. Linda Branig le constate. «À l’échelle du groupe Berlitz, qui est présent dans plus de 70 pays à travers le monde, nous remarquons un attrait grandissant pour nos formations en soft skills», confie-t-elle.

Des séminaires pour apprendre les soft skills

Au-delà des , Berlitz propose en effet des séminaires d’affaires. «Apprendre à déléguer, influencer sans recourir à l’autorité, communiquer efficacement, résoudre un conflit… les thématiques liées au , à l’interaction et au figurent parmi les plus demandées», précise Linda Branig. Grâce à son réseau de formateurs et conférenciers spécialisés dans ces domaines, Berlitz est en mesure de répondre à une grande variété de formations en soft skills.

À l’image de sa méthode d’apprentissage linguistique, l’organisation propose une approche concrète et pragmatique de ces sujets. «Après un premier moment consacré à quelques explications théoriques, nos formateurs passent rapidement aux mises en situation afin de mettre ces apprentissages en application», explique-t-elle. Dispensés en français, anglais ou allemand, sur une demi-journée à deux jours, ces séminaires permettent ainsi d’acquérir ces compétences devenues aujourd’hui incontournables pour quiconque souhaite évoluer sur le marché de l’emploi ou tout simplement préserver son employabilité.

En tant que lecteur de Paperjam.lu, profitez de 20% de réduction pour tout séminaire «soft skills» réservé avant le 31/12/2019 auprès de Berlitz Language & Business Training Luxembourg.