Carlos Ghosn, ex-grand patron de Renault-Nissan-Mitsubishi, n’en a sans doute pas fini avec ses ennuis avec la justice japonaise. Mais il va sans doute pouvoir bénéficier d’une remise en liberté, après 107 jours de détention. Le tribunal de Tokyo a répondu favorablement à sa demande en ce sens déposée le 28 février, après deux échecs antérieurs.
Sa libération sous conditions se fera aussi contre le versement d’une caution de 8 millions d’euros.
Le Parquet sans doute en appel
Face à cette petite surprise, les libérations conditionnelles étant rares au Japon, le Parquet pourrait faire appel ou bien l’arrêter à nouveau sur base de nouvelles accusations.
Carlos Ghosn a été arrêté à sa descente d’avion le 19 novembre dernier et a notamment été Il a depuis lors été .