Carine Feipel apprécie les sorties shopping ponctuelles. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne)

Carine Feipel apprécie les sorties shopping ponctuelles. (Photo: Guy Wolff/Maison Moderne)

La présidente de l’Institut luxembourgeois des administrateurs (ILA), Carine Feipel, aime faire plaisir à ses proches avec des cadeaux, et à elle-même, en s’octroyant ponctuellement des sorties shopping.

Avez-vous un principe par rapport à l’argent?

– «Se faire plaisir aujourd’hui et investir pour demain. Bref, trouver le bon équilibre entre le fait qu’on ne vit qu’une seule fois et prévoir pour l’avenir.

Comment prévoir pour l’avenir?

«En épargnant et en réalisant des investissements sur lesquels je pense pouvoir compter.

Quel est le meilleur placement que vous ayez fait?

«Dans la brique au Luxembourg. C’est classique, mais ça fonctionne. En plus, ce sont des habitations dans lesquelles j’ai vécu de bons moments, donc cela permet de combiner l’investissement et le plaisir.

Quel est votre dernier achat coup de cœur?

«Des vêtements et des chaussures ­achetés lors d’un week-end à Paris. Je peux assez facilement me lâcher là-­dessus.

Qu’aimez-vous dans le shopping?

«J’aime le plaisir que cela me procure de porter des choses neuves. J’aime aller faire les magasins. Cela me détend et me permet de penser à autre chose. Je ne le fais pas souvent, mais lorsque je le fais, je me laisse aller.

Pour quoi seriez-vous prête à dépenser sans compter?

«Pour les vacances, probablement, parce que je n’en prends pas assez. Donc, lorsque c’est le cas, je veux vraiment me faire plaisir et faire plaisir à ceux qui partent avec moi. Et lorsque je fais un cadeau à quelqu’un que j’aime, je ne suis pas regardante sur le montant.

Vous souvenez-vous de votre premier salaire et de ce que vous en avez fait?

«J’ai acheté un bijou Cartier en cadeau pour ma maman. J’avais appris à l’époque qu’il était de coutume d’offrir un cadeau à sa maman avec son premier salaire. Je pense que cela s’est un peu perdu aujourd’hui, mais je suis très heureuse de l’avoir fait. Ma maman le porte encore et toujours, et cela me fait très plaisir.

Votre carrière vous a menée aux États-Unis. En quoi le rapport à l’argent ­diffère-t-il d’ici?

«J’ai vécu cinq ans à New York avec mon mari et mes enfants. Je dois admettre que faire jouer un gamin au foot ou au tennis à New York coûte un tout autre prix qu’au Luxembourg. New York est une ville très chère, les ­montants des services y sont très ­élevés… Je pense notamment aux frais ­médicaux. Mais cela m’a fait apprécier davantage la qualité de vie que l’on a ici, au Luxembourg, et les commo­dités qui y sont proposées.»

Cet article a été rédigé pour l’édition magazine de  parue le 14 décembre 2022. Le contenu du magazine est produit en exclusivité pour le magazine. Il est publié sur le site pour contribuer aux archives complètes de Paperjam. 

 

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