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 (credit: ASEMES)

Réussir en première année de médecine est le fruit d’un savant mélange entre convictions, travail et abnégation

Hugo Tamburini (pharmacien), enseignant et cofondateur de l’ASEMES

Ne restez pas passif! La clé, c’est le temps.

Anticiper un maximum en prenant de l’avance sur les programmes permet de renforcer ses convictions et d’éviter le choc de la transition.

La dimension psychologique est telle, qu’il n’y a pas d’heure, ni de moment pour commencer à se convaincre qu’on est capable, que c’est ce qu’on aime et ainsi arriver dans les meilleures conditions en première année de médecine, peu importe le pays.

L’ASEMES propose donc aux lycéens, une préparation anticipée, revenant sur les matières communes à tous les cursus médicaux d’Europe, comme l’Anatomie, la Biologie Cellulaire et Moléculaire, la Biochimie ou encore la Physiologie, mais propose également des conseils méthodologiques et pratiques adaptés aux concours, ainsi que des examens d’entrainement type, afin d’impulser le bon rythme de travail qu’ils se doivent d’acquérir au plus vite.

Ces séances sont dispensées par une équipe enseignante de qualité, formée de Médecins, pharmaciens, professeurs agrégés et Maîtres de conférences, tous habitués et passionnés par l’exercice du concours de Médecine. 

Pour celles et ceux qui douteraient encore de leurs orientations futures, l’ASEMES propose également un stage «découverte», ni plus ni moins qu’une immersion dans la vie d’un étudiant en première année de médecine; Quoi de mieux pour tester ses motivations réelles?

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