Les adolescents joueurs sont devenus des grands-parents joueurs qui maintiennent un lien particulier avec leurs petits-enfants. (Photo: Shutterstock)

Les adolescents joueurs sont devenus des grands-parents joueurs qui maintiennent un lien particulier avec leurs petits-enfants. (Photo: Shutterstock)

Une étude de l’Association américaine des retraités montre combien le nombre de quinquagénaires (et plus) qui jouent à des jeux vidéo a augmenté. Et pourquoi c’est une bonne chose.

L’image de l’adolescent boutonneux seul devant son écran a vieilli. Tellement vieilli que les «experts» découvrent que les personnes âgées de plus de 50 ans sont de plus en plus nombreuses à jouer à des jeux vidéo.

Il suffirait de se rappeler que l’industrie du jeu vidéo s’est véritablement démocratisée à partir de la troisième génération de consoles, en 1985, et d’appliquer une règle de trois… pour comprendre que les adolescents qui avaient 14 ou 15 ans à cette époque-là ont aujourd’hui 49 ou 50 ans, et qu’ils ne font que continuer à jouer.

N’empêche, , cette augmentation de 10% sur un an est surtout due à l’augmentation de joueuses. Le jeu, outre le développement ou le maintien de la dynamique intellectuelle, a aussi des fonctions de liens avec les petits-enfants et avec une communauté de joueurs.

Les experts prédisent que l’industrie devrait développer de nouveaux jeux et de nouvelles consoles où la manette serait moins importante, pour répondre aux difficultés grandissantes que rencontrent les seniors avec le matériel actuel.