La moindre bonne nouvelle propulse les marchés financiers vers des sommets jamais atteints. Crédit: Shutterstock

La moindre bonne nouvelle propulse les marchés financiers vers des sommets jamais atteints. Crédit: Shutterstock

La crise sanitaire a bouleversé l’économie: confinement, chômage partiel, digitalisation… Les impacts économiques restent, à ce jour, limités, grâce au soutien conséquent des États européens, sous l’égide d’un même engagement: la santé n’a pas de prix. Sous perfusion massive, l’équilibre se maintient. Symbole néanmoins d’une tension prégnante, la moindre bonne nouvelle propulse les marchés financiers vers des sommets jamais atteints.

Dans cette crise, l’épargnant européen s’est réfugié dans une épargne de précaution. En France, le Livret A enchaîne les records; en Belgique, l’épargne réglementée explose. Face à l’inconnu, les liquidités et fonds subventionnés rassurent et garantissent une disponibilité immédiate. Mais quelle performance à long terme? Sur les marchés internationaux, malgré les émissions massives de dettes souveraines, les taux restent bas, les banques centrales maintenant des taux directeurs faibles pour conserver une fluidité bancaire. Une problématique émerge: comment garantir du rendement pour le futur?

Désormais, en 2021, l’inconnue n’est plus quand finira la crise sanitaire, mais quel sera le monde d’après? Comment l’économie retrouvera-t-elle Confiance, Croissance et Inflation lorsque les États cesseront de soutenir les entreprises?

L’investisseur particulier doit ainsi aborder autrement ses placements.  Entre épargne massive de précaution et recherche de rendement, l’espace est restreint, et des solutions existent.

La clé du rendement réel réside dans la position de la performance par rapport à l’inflation. Avec les taux bas, les fonds garantis s’essoufflant, les supports en unités de comptes dans les contrats d’assurance-vie sont la solution pour cibler cette performance attendue. Investir en partie sur des supports corrélés à l’inflation pour suivre l’évolution de l’économie doit être un pilier de l’épargne pour garantir une adéquation durable entre rendement et coût de la vie.

Puis, au-delà d’une garantie, au-delà du rendement rêvé, LA nouveauté de la crise est l’investissement responsable. L’épargnant est gagné d’une envie de local, de compréhension de leurs placements, de transparence.

Ces indicateurs d’Investissement Socialement Responsable (ISR) reposent sur trois piliers: l’Environnement, le Social et la Gouvernance (ESG). Pour AXA Wealth Europe, c’est une évidence (cf. de Mme Lequien paru en octobre 2020 dans le dossier Wealth Management).

Nous aidons cette transition de l’économie: digitalisation, protection des données, environnement… et proposons une liste grandissante de fonds ISR à nos assurés. AXA Wealth Europe accompagne ce changement grâce aux avantages et à la flexibilité du contrat luxembourgeois, et à une offre étoffée en unités de comptes.

Cette crise renforce le besoin de stabilité et de confiance dans la relation entre assureur, conseiller et épargnant. Le devoir de conseil, l’éducation financière et le sens des investissements sont primordiaux. L’offre en unités de comptes devient indispensable, lors de la construction de son épargne. Il est du devoir de la finance et de l’assurance de proposer les solutions adéquates pour accompagner la transformation, pour un bilan de santé au beau fixe.

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Texte rédigé par Antoine Chartier, Actuarial, Product & Investment Manager, AXA Wealth Europe.