Mario Kratz, Managing Director SAB, Johny Basher, Senior Corporate Advisor à la BIL, Robert Schweich, Managing Director SAB. Patricia Pitsch - Maison Moderne Publishing SA

Mario Kratz, Managing Director SAB, Johny Basher, Senior Corporate Advisor à la BIL, Robert Schweich, Managing Director SAB. Patricia Pitsch - Maison Moderne Publishing SA

Mario Kratz et Robert Schweich ont repris SAB en 2003. Spécialisée dans les pièces de mécanique générale et à destination du secteur sidérurgique, l’entreprise a connu un développement fulgurant, avec le soutien et l’accompagnement de la BIL. Elle compte aujourd’hui une centaine de collaborateurs.

Parler de success story pour évoquer le parcours de SAB est loin d’être exagéré. L’entreprise basée à Grevenmacher a réussi, en l’espace d’une quinzaine d’années, à prendre pied sur la plupart des marchés européens qui comptent dans le secteur de la sidérurgie, tout en se développant aussi à l’international (Taiwan, Corée du sud, Brésil). Et pourtant, il s’agissait au départ d’un véritable pari. « Avec Mario, nous travaillions pour un acteur majeur du secteur, se souvient Robert Schweich, l’un des deux associés à la tête de SAB. Nous constations qu’il était difficile de répondre à des demandes spécifiques des clients, en dehors des processus standards mis en place par l’entreprise. En outre, nous souhaitions réellement changer de vie. C’est ainsi que l’idée de lancer notre propre société a germé. »

Robert Schweich et son partenaire Mario Kratz se lancent donc à deux, dans un local loué. Et le succès est immédiat. « A cette époque, nous souhaitions seulement faire de la vente de pièces à la demande, pas nous occuper de leur conception. Mais nos clients nous ont rapidement fait savoir qu’ils souhaitaient que nous concevions et fabriquions également les produits, explique Mario Kratz. Cela permettait de répondre réellement à la volonté de nos clients d’obtenir des pièces personnalisées. »

Toutefois, cette nouvelle orientation exigeait de s’installer dans des locaux plus grands, permettant d’accueillir plus de matériel et un personnel croissant. Les deux entrepreneurs collaborent alors avec une banque de la place. « Le problème, c’est que nous n’avions quasiment jamais de contact avec eux. On ne nous écoutait pas vraiment, et nous avions l’impression qu’il n’y avait pas beaucoup de volonté, de leur côté, d’intensifier la collaboration, indique Robert Schweich. Pour cette raison, mais aussi parce que nous souhaitions diversifier nos risques, nous avons souhaité faire appel à une deuxième banque. Nous avons été reçus à la BIL et leurs collaborateurs nous ont longuement écoutés. Nous avons tout de suite eu un bon feeling. »

Notre banque est un véritable partenaire pour notre business, un allié en qui nous avons pleinement confiance.

Robert SchweichManaging DirectorSAB

De meilleures conditions, un meilleur conseil

C’est en 2013 que le premier investissement de taille est réalisé grâce à la BIL. A l’étroit, SAB doit en effet s’installer ailleurs, dans une nouvelle usine construite à Grevenmacher, qui est aujourd’hui encore le siège de l’entreprise. « Nous avons obtenu des meilleures conditions pour notre prêt, explique Mario Kratz. Mais, surtout, le contact personnel que nous avons eu avec le conseiller de la BIL a été excellent. Il nous a beaucoup écouté pour comprendre notre projet et notre marché, il a posé de nombreuses questions. Depuis cette époque, c’est le même interlocuteur que nous avons à la BIL, et nous en sommes vraiment très heureux. »

Les deux Managing Directors de SAB poursuivent actuellement le développement de l’entreprise, toujours conseillés par la BIL. « Dès que nous avons un investissement en tête, nous en parlons à notre conseiller bancaire, qui nous conseille toujours avec justesse. Notre banque, c’est un véritable partenaire pour notre business, un allié en qui nous avons pleinement confiance. La BIL veut que nous réussissions, et il est clair que l’accompagnement qu’ils nous ont offert au cours des dernières années a été déterminant dans notre succès », conclut Robert Schweich. La joint venture nommée VCL, qui a été créée en 2014 avec Paul Wurth, constitue d’ailleurs un autre chapitre majeur de la success story de SAB. La boucle est bouclée.

A la BIL, nous estimons que tout conseiller doit faire preuve de curiosité. Son rôle est ainsi de bien comprendre les activités de chaque client, de s’informer sur le secteur et de suivre les tendances des différentes industries. Ce n’est qu’à cette condition qu’il est possible d’avoir une conversation professionnelle avec un entrepreneur et de partager avec lui ses propres réflexions. En outre, cette bonne connaissance permet, à terme, d’anticiper les besoins du client pour son développement futur et de lui faire part de nos commentaires afin qu’il puisse mener à bien ses projets

Johny BasherSenior Corporate AdvisorBIL