Si les crédits de caisse et les crédits d’investissement sont les premiers contrats à bénéficier de la signature électronique, celle-ci pourrait être élargie à d’autres types de contrats, comme les prêts immobiliers, les mandats de gestion ou les ouvertures de compte pour les entreprises. (Photo: Shutterstock)

Si les crédits de caisse et les crédits d’investissement sont les premiers contrats à bénéficier de la signature électronique, celle-ci pourrait être élargie à d’autres types de contrats, comme les prêts immobiliers, les mandats de gestion ou les ouvertures de compte pour les entreprises. (Photo: Shutterstock)

En déployant la signature électronique pour les crédits de caisse et les crédits d’investissement, la BIL compte accélérer la digitalisation de ses services. Et ainsi répondre aux conséquences de la lutte contre la crise du Covid-19.

La BIL a décidé d’accélérer la digitalisation de certaines opérations et transactions en déployant la signature électronique, annonce la banque dans un communiqué mardi. Les crédits de caisse et les crédits d’investissement sont les premiers contrats à en bénéficier.

Cette signature, qui a une valeur juridique équivalente à une signature manuscrite, s’effectue à l’aide de l’outil Luxtrust. Le contrat, préalablement négocié sur l’espace de banque en ligne, pourra, une fois signé, être archivé dans l’espace personnel du client. Ce qui évite tout passage par l’agence ou transmission de document par voie postale, explique la BIL.

«Nous souhaitons élargir son utilisation à d’autres types de contrats, comme les prêts immobiliers, les mandats de gestion ou les ouvertures de compte pour les entreprises», explique , head of retail, private banking Luxembourg and digital de la BIL.

Une manière de répondre aux conséquences de la crise du Covid-19 et aux «restrictions de circulation, qui limitent les rendez-vous en personne», explique la BIL dans son communiqué.