Des 50 millions de tonnes de déchets électroniques produits chaque année dans le monde, seulement 20% sont aujourd’hui recyclés, le reste étant capté par les filières d’incinération ou d’enfouissement.
En plus de représenter une manne financière évaluée à 55 milliards d’euros, leur traitement devient crucial pour certains pays, à l’image de Singapour dont les décharges sont menacées de saturation.
Pour avancer sur ces problématiques, le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) a ouvert un laboratoire commun international, en partenariat avec l’université NTU de la ville-État.
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