Alain Letecheur, Head of Presales Department, Products & Solutions, Datacenter & Applications chez Telindus Crédit: Telindus

Alain Letecheur, Head of Presales Department, Products & Solutions, Datacenter & Applications chez Telindus Crédit: Telindus

La meilleure pratique pour garantir la continuité de l’activité d’une entreprise face aux risques informatiques est, encore et toujours, d’effectuer de bons back-up. Il en va, pour beaucoup d’organisations, de leur survie.

De plus en plus, le fonctionnement d’une entreprise ou d’une organisation est dépendant des systèmes informatiques. Si, pour une raison ou une autre, ceux-ci se retrouvent indisponibles, c’est l’ensemble de l’activité qui est paralysée. «Régulièrement, on voit des entreprises perdre toute leur production en raison de défaillances ou d’attaques des systèmes informatiques, explique Jacques Mielcarek, Sales Consultant Storage au sein de Telindus (Proximus Luxembourg). Si l’entreprise se retrouve dans l’impossibilité de restaurer rapidement ses applications métiers ou encore ses données, les conséquences économiques et financières peuvent rapidement s’avérer désastreuses.» Pour la grande majorité des entreprises, la perte des données essentielles à l’activité est tout simplement fatale.

L’importance du back-up

Depuis plusieurs années, ces enjeux sont au cœur des discussions. La sécurité informatique prend une place considérable dans les stratégies de gestion des risques des organisations, notamment pour lutter contre les attaques toujours plus nombreuses qui sont perpétrées. «Le Luxembourg n’est pas épargné. Des cas récents ont encore démontré que des entreprises, petites ou grandes, pouvaient être paralysées par des acteurs malveillants parvenus à encrypter l’ensemble de leurs données et leur réclamant une rançon pour les libérer, poursuit Jacques Mielcarek. Pour lutter contre ces attaques, une technologie essentielle, malheureusement considérée comme un parent pauvre de la cybersécurité informatique, reste le back-up.»

Le 16 juin prochain, lors d’un webinaire organisé en partenariat avec NetApp et CommVault, Telindus évoquera l’importance du back-up et les dernières technologies permettant de le placer au service de la résilience de l’entreprise.

Pour lutter contre ces attaques, une technologie essentielle, malheureusement considérée comme un parent pauvre de la cybersécurité informatique, reste le back-up.
Jacques Mielcarek

Jacques MielcarekSales Consultant StorageTelindus

Garantir le maintien de la production

Le back-up est bien plus qu’un mal nécessaire, comme il est encore trop souvent considéré aujourd’hui. «Il doit, au contraire, être vu comme un élément central de la préservation de l’outil de production, précise Alain Letecheur, Head of Presales Department, Products & Solutions, Datacenter & Applications. L’ouverture vers le cloud, l’hybridation des systèmes, avec des données préservées en local et d’autres dans des outils de type software as a service, rendent plus complexes les démarches de sauvegarde.» En outre, ce n’est pas parce que les systèmes ou les données sont placés sur une plate-forme de cloud public qu’ils sont automatiquement bien sécurisés. «Bien au contraire, les opérateurs de cloud public, de manière générale, offrent des services de sécurisation minimum. Il faut en outre se demander ce qu’il advient si une telle plate-forme devait faire face à un problème technique étendu, poursuit Alain Letecheur. Considérant cela, nous comprenons en quoi le back-up, qui garantit de pouvoir récupérer ses données et de les restaurer de manière logique, est important.»

Une stratégie de back-up adaptée à l’activité

Assurer des back-up de qualité est fondamental pour maintenir la production et assurer la continuité de l’activité. Sa mise en œuvre doit s’inscrire au cœur de la stratégie IT et dépendra avant tout de l’infrastructure informatique de l’entreprise. «Si tous les systèmes se trouvent dans le cloud, la stratégie de back-up privilégiera une sauvegarde des données en local. À l’inverse, si l’organisation a tous ses systèmes chez elle, l’intérêt sera de mettre en place une sauvegarde dans le cloud», assure Alain Letecheur. «Quand on parle de back-up, on évoque souvent la règle du ‘1,2,3 ’, assure Jacques Mielcarek. Même si elle n’est pas nouvelle, elle reste toujours pertinente. Elle recommande de réaliser une sauvegarde en dehors du site, d’utiliser deux mediums différents, comme les bandes ou encore des disques, et d’effectuer trois copies de la donnée.»

La stratégie du back-up devra tenir compte des besoins de l’entreprise, notamment pour définir la régularité des sauvegardes et la durée de conservation des données. Pour certains acteurs, dont le business est critique, des sauvegardes devront être effectuées chaque jour et même plusieurs fois par jour. Pour d’autres, une sauvegarde hebdomadaire pourrait être suffisante. La durée de conservation des données va dépendre de plusieurs facteurs, notamment des exigences réglementaires.

Opter pour les bonnes technologies de sauvegarde

«C’est le contexte de l’entreprise qui va permettre de définir la manière avec laquelle le back-up va être mis en œuvre, explique Alain Letecheur. Il sera déterminant pour définir les technologies à utiliser, pour garantir la préservation des données à court ou à plus long terme, ainsi que pour parvenir à gérer des sauvegardes sur un environnement hétérogène.»

Grâce à des technologies performantes, comme celles proposées par NetApp ou CommVault, partenaires de Telindus, il est désormais possible de garantir la qualité des sauvegardes à l’échelle d’environnements complexes et hétérogènes. «C’est une préoccupation importante de nos clients, qui ne souhaitent pas consacrer un équivalent temps plein à des opérations de back-up, ajoute Jacques Mielcarek. Il est dès lors important de pouvoir accompagner l’intégration des solutions technologiques pour garantir la continuité des services, tout en cherchant à optimiser les ressources et les coûts consacrés à ces enjeux de back-up.»

Inscrivez-vous pour suivre le webinaire «» proposé par Telindus, NetApp et CommVault le 16 juin à 15h.