Autonomie et responsabilité Rime-IT

Autonomie et responsabilité Rime-IT

Plus l’autonomie et la responsabilisation des équipes sont présentes, plus le management participatif prend tout son sens. Chaque employé d’une société connaît mieux que quiconque son métier et il est celui qui sait le mieux ce qu’il a à faire pour atteindre ses objectifs. De même, chacun sait souvent ce qui doit être amélioré au sein de son département ou service pour permettre à l’entreprise de se développer.

Se basant sur ce principe, notre management a décidé d’encourager ses collaborateurs à l’autonomie. Chez Rime-IT, un employé autonome se gouverne lui-même selon sa propre méthode de travail. Il prend des initiatives, il participe aux décisions, il a la possibilité d’appliquer ses idées à l’exécution de son travail, il s’auto-organise. L’autonomie implique la responsabilité car la personne autonome doit pouvoir répondre de ses actes. Elle se prend en charge et n’attend plus que la solution vienne des autres.

L’autonomie peut porter sur la définition des tâches à effectuer, les méthodes d’exécution, les outils utilisés, les priorités mais aussi sur l’organisation du travail, tels que les modes de communication et de coopération, les processus de gestion de l’entreprise, la configuration des postes de travail, etc.

Nous encourageons deux types d’autonomie: l’autonomie «horizontale» où le manager définit un objectif global à atteindre, les tâches à accomplir pour atteindre cet objectif étant laissées à la discrétion des employés et l’autonomie «verticale» où les employés sont invités à régler eux-mêmes les problèmes rencontrés avant d’en référer à leur manager.

Concrètement, plusieurs initiatives ont été mises en place chez Rime-IT:

- Le management par questionnement ouvert: chaque employé est consulté afin que la décision puisse être prise de manière collective: «Quel est votre avis sur ce point?», «Quelle décision prendriez-vous dans ce contexte particulier?» Les avis de tous sont entendus et pris en compte et ce processus peut déboucher sur de nouvelles idées créatives.

- L’implication dans la conduite des projets: un projet global peut être découpé en plus petits projets avec un responsable à la tête de chaque «mini-projet». Prenons l’exemple de notre emménagement récent dans nos nouveaux bureaux. Chaque employé interne a été responsable d’une partie de l’aménagement des bureaux et chacun a pu donner son avis sur l’ensemble des travaux, depuis la conception du plan jusqu’au choix du mobilier. La conception de bureaux «agréables» pouvant différer d’une personne à l’autre, il était important d’impliquer chacun dans ce projet afin d’assurer un bien-être au travail pour tous.

- Le droit à la parole, à la proposition et à la suggestion pour tous nos collaborateurs via par exemple un réseau social interne, des enquêtes de satisfaction et des boîtes à idées.

- L’organisation de réunions thématiques ou à la demande, où chaque participant intervient dans l’animation de la réunion.

Évidemment, tout cela est possible grâce à notre manager qui invite ses employés à prendre des décisions importantes, les encourage à prendre des risques et à sortir de leurs zones de confort. Le droit à l’erreur est important.

 Punir l’échec est le meilleur moyen pour que personne n’ose. 

Jack Welch

L’équipe avance seule: notre manager communique ce qu’il attend de nous et en quoi c’est important, puis il lâche prise. Chacun lui rapportera sans qu’il n’ait à intervenir ou à relancer ses équipes. L’autonomie ne signifie néanmoins pas être livré à soi-même, la confiance ne peut exclure le suivi. Il reste à l’écoute des difficultés rencontrées et il peut proposer à ses collaborateurs un renforcement des compétences via des formations si cela permet à la personne d’augmenter sa confiance et par la même occasion son autonomie.

Libérer le pouvoir d’initiative et de créativité de chacun apporte de nombreux avantages. Vu que chaque employé peut mettre à profit ses compétences et ses talents et exprimer une part de lui-même dans son travail, il se sent davantage impliqué au sein de sa société. Ceci impactera positivement sa motivation, son engagement et sa contribution, il trouvera un sens à son travail. En conclusion, le bien-être au travail ou encore la qualité de vie au travail seront fortement améliorés et donc l’entreprise n’en sera que plus performante.