Pascal Morosini (i-Hub). (Photo: Maison Moderne)

Pascal Morosini (i-Hub). (Photo: Maison Moderne)

En amont du Breakfast Talk – PSF de support: nouvelles règles d’outsourcing, organisé jeudi 5 mai 2022, par le Paperjam + Delano Club, découvrez l’interview de notre sponsor Pascal Morosini, CEO de .

Quelle est la raison d’associer votre marque à cet événement? Qu’attendez-vous de cet événement?

. – «Nous avons souhaité associer notre société, et plus spécifiquement notre solution ‘KYC Partner’, à cet événement, car l’essence même de notre positionnement stratégique et commercial incarne l’externalisation des processus de KYC/CDD. Les tendances de marché nous confortent dans ce positionnement qui offre une réelle valeur ajoutée aux institutions financières ou à tous les autres professionnels soumis aux lois AML. Aujourd’hui, le cadre réglementaire change, évolue et incite les professionnels à externaliser certaines activités, et donc à innover.  Nos attentes autour de cet événement sont de réussir à convaincre les acteurs de la place financière à considérer sérieusement l’externalisation de services à des professionnels qualifiés. Dans notre cas, nous avons une solution KYC digitale unique, une expertise et un savoir-faire inégalable que nous souhaitons mettre au profit de nos clients. Aujourd’hui, le cadre réglementaire de l’externalisation est très abouti et définit une supervision structurée avec des contrôles spécifiques afin de maîtriser ses prestataires. Désormais, pour les acteurs de la Place, l’heure est à la délégation de services afin que ceux-ci se concentrent mieux sur leur cœur de métier. Que pensez-vous de la problématique exposée?

«La problématique exposée est une excellente nouvelle de notre point de vue, puisqu’elle met en lumière un cadre européen de plus en plus structuré et harmonisé. En effet, cette circulaire s’inscrit dans la perspective de la convergence européenne en matière de supervision financière dans un contexte où la digitalisation de l’industrie des services financiers est de plus en plus prégnante, voire incontournable. Pour nous, c’est un tremplin pour s’ouvrir aux marchés européens.

Selon vous, le statut de PSF de support est-il un gage de qualité pour un prestataire IT?

«Oui, malgré les contraintes qu’il engendre en termes de reporting et de coût, il permet de mettre les clients en confiance avec un prestataire qui est soumis à des lois et règlements similaires, voire identiques, à ceux auxquels ils sont soumis eux-mêmes et de contrôler la gouvernance afin d’asseoir notamment la continuité des affaires et la sécurité. C’est clairement un avantage pour établir des relations d’affaires avec le secteur financier, mais pas seulement.»