L’usine de rails d’Hayange suscite la convoitise. Avec un carnet de commandes plein, elle est considérée comme un actif stratégique. (Photo: Shutterstock)

L’usine de rails d’Hayange suscite la convoitise. Avec un carnet de commandes plein, elle est considérée comme un actif stratégique. (Photo: Shutterstock)

À Hayange, l’usine de rails de British Steel, en faillite, fait l’objet de quatre offres de reprise, dont une par le numéro un mondial du secteur, ArcelorMittal.

ArcelorMittal est un des repreneurs potentiels de l’usine de rails de British Steel à Hayange, selon le journal . Le groupe britannique Liberty House, le fonds britannique Greybull et l’allemand Saarstahl seraient aussi intéressés par le fabricant mosellan de rails pour la SNCF.

L’industriel chinois Jingye a annoncé mardi la reprise de British Steel, en faillite, sans que soit incluse l’usine de 400 salariés, celle-ci étant «dans la procédure des investissements étrangers en France soumis à autorisation», selon Les Echos. Jingye serait intéressé par l’usine d’Hayange, qui, considérée comme un actif stratégique, suscite la convoitise. Sans avoir beaucoup de chances de l’emporter.

Selon Les Echos, une reprise groupée par deux sociétés serait le scénario favori du ministère de l’Économie français.