François Mousel: «Luxembourg est la 2e Place mondiale en matière de fonds d’investissement. Le pays a à la fois une énorme responsabilité et une carte à jouer en se réinventant comme un vecteur majeur de redirection des flux de capitaux dans des investissements répondant aux objectifs SDG.» (Photo: PwC Luxembourg)

François Mousel: «Luxembourg est la 2e Place mondiale en matière de fonds d’investissement. Le pays a à la fois une énorme responsabilité et une carte à jouer en se réinventant comme un vecteur majeur de redirection des flux de capitaux dans des investissements répondant aux objectifs SDG.» (Photo: PwC Luxembourg)

Pour son premier CEO & Entrepreneurs Cocktail de l’année, le Paperjam Club réunira sur scène, le jeudi 16 janvier à partir de 18h30, la «femme la plus puissante du pays», Nora Back, et le «patron des patrons», Nicolas Buck. En prélude à cette rencontre, François Mousel, partner chez PwC Luxembourg, gold sponsor de l’événement, répond à trois questions.

Quelles ont été les raisons d’associer votre image à ce CEO Cocktail?

. – «PwC Luxembourg a décidé de sponsoriser cet événement en raison de l’importance que nous attachons au dialogue en général, et au dialogue social au Luxembourg en particulier. Face à des avenirs incertains, et émettent, à travers cet événement, un signe clair qu’ils souhaitent aborder les grandes questions de transformation de la société ensemble, conscients de l’héritage industriel passé et de ses clivages, mais aussi de son dépassement progressif qui efface les frontières traditionnelles entre ‘patronat’ et ‘force de travail’.

Qu’attendez-vous de ce débat entre la «femme la plus puissante du pays» et le «patron des patrons»?

«Qu’il constitue une étape dans l’abolition d’une opposition polarisée, parfois vécue de manière idéologique des deux côtés. Et dans la découverte qu’il y a surtout un avenir à construire ensemble.

Climat, fiscalité, retraites, digitalisation de l’économie... seront quelques-uns des sujets débattus lors de cette soirée. Quel est celui qui vous tient le plus à cœur?

«La fiscalité au service du changement climatique. Luxembourg est la 2e place mondiale en matière de fonds d’investissement. Le pays a à la fois une énorme responsabilité et une carte à jouer en se réinventant comme un vecteur majeur de redirection des flux de capitaux dans des investissements répondant aux objectifs SDG. Dans ce contexte, la fiscalité peut jouer un rôle important de catalyseur.»