Orange fera confiance à Nokia et Ericsson pour le déploiement de la 5G en France. (Photo: Orange)

Orange fera confiance à Nokia et Ericsson pour le déploiement de la 5G en France. (Photo: Orange)

Emmanuel Vivier et le HUB Institute vous proposent chaque jour le #HUBRADAR, une sélection des tendances et des meilleures innovations technologiques en trois articles.

L’opérateur historique a choisi les équipementiers Nokia et Ericsson pour déployer la 5G en France métropolitaine. Le partenariat avec Nokia sera concentré sur les régions Ouest et Sud-Est, où Nokia est déjà fournisseur de la 2G, 3G et 4G. 

De son côté, Ericsson se concentrera sur les régions Île-de-France, Nord-Est et Sud-Ouest, zones sur lesquelles la société fournit elle aussi la 2G, 3G et 4G. Le premier forfait 5G d’Orange doit sortir cet été. Il promet plus de data et un débit plus élevé, pour un prix qui devrait rester «dans des zones voisines de la 4G», comme l’explique Stéphane Richard, PDG d’Orange. Huawei ne fait pas partie des plans de l’opérateur, même si le PDG d’Orange indique qu’il est contre l’exclusion de l’équipementier chinois du marché européen. 

Google a mis au point une nouvelle plate-forme permettant de préserver cinq des sites culturels les plus précieux au monde, menacés par le réchauffement climatique.

En partenariat avec CyArk, le projet, nommé «Heritage on the Edge», crée des représentations 3D obtenues grâce à des images capturées par drone et à la photogrammétrie. Cette initiative fait partie d’une entreprise plus vaste baptisée «Open Heritage», dans laquelle Google Arts & Culture renseigne les défis auxquels sont confrontés les lieux historiques dans le monde. «Heritage on the Edge» cartographie l’île de Pâques, Kilwa Kisiwani en Tanzanie, les villes anciennes et nouvelles d’Édimbourg en Écosse, la mosquée de Bagerhat au Bangladesh et l’ancienne ville de Chan Chan au Pérou.

Google propose également une cinquantaine d’expositions en ligne, des modèles 3D et des visites virtuelles des rues, tout en donnant des informations sur l’impact du réchauffement climatique sur les sites culturels historiques, la communauté locale et les dommages déjà causés.

La nouvelle obsession pour le bien-être fait grandement augmenter l’intérêt pour les applications de méditation. En 2018, le cabinet d’intelligence app Sensor Tower déclarait que le top 10 des applications avait rapporté 128 millions de dollars.

En 2019, les chiffres ont bien augmenté. En effet, ces applications ont atteint les 195 millions de dollars, soit une augmentation de 52% en seulement un an. D’une année à l’autre, seules deux applications figurent dans le top 10 depuis 2015: Calm et Headspace, qui ont rapporté respectivement 92 et 56 millions de dollars en 2019. Les deux applications ont vu leurs revenus augmenter de 46% et 33% par rapport à 2018.

À noter, Petit Bambou, de l’éditeur FeelVeryBien, se classe 5e et 7e du top 10 en termes de téléchargements et de revenus.

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