«Les propriétaires des plates-formes se considèrent comme les maîtres de l’univers, mais en réalité, ils sont esclaves pour préserver leur position dominante... Davos est le bon endroit pour leur annoncer que leurs jours sont comptés», lance George Soros.
Dans le froid de Davos, où se tient le Forum économique mondial, l’homme d’affaires offre son traditionnel banquet et lâche quelques piques à une poignée de convives à l’hôtel Seehof.
C’est le point de départ d’ sur les 18 derniers mois que vient de vivre le réseau social star Facebook, accusé de tous les maux, et obligé de se défendre sur tous les continents.