Souvenez-vous. C’était avant que la jeune Suédoise ne décide de reprendre les cours. Attirés par l’idée de profiter de la popularité de Greta Thunberg auprès de la jeune génération, les politiques multipliaient les courbettes pour que l’adolescente activiste leur tire les oreilles publiquement. Plus cela leur faisait mal, plus cela leur faisait du bien, pensaient-ils.
Greta repartie à son rythme «normal» et à son autopromotion, une quinzaine de scientifiques ont lancé l’initiative «Time for the Planet». Particularité? Personnalités respectées, contrairement à ce que laissait entendre la jeune égérie à longueur de harangues, ils sont à la recherche d’une centaine de start-up pour sauver la planète.
, ces scientifiques iront ensuite taper aux portes des 6.000 bonnes adresses qui figurent dans leurs contacts privilégiés, pour leur apporter au moins un milliard d’euros et les aider à financer le développement de leurs produits innovants.
L’open source y est même un critère bienvenu, .