2021 est une année dont nous pouvons être fiers, déclare Colette Dierick, dans un communiqué. (Photo: Matic Zorman/Maison Moderne/archives)

2021 est une année dont nous pouvons être fiers, déclare Colette Dierick, dans un communiqué. (Photo: Matic Zorman/Maison Moderne/archives)

La banque ING Luxembourg affiche, pour son exercice 2021, un résultat en progression de 33% sur un an, pour 338 millions de revenu. Sa CEO, Colette Dierick, sur le départ, s’attend à une année 2022 «plus difficile».

, , va donc quitter ses fonctions sur une bonne performance: les revenus de la banque ont augmenté de 13%, à 338 millions d’euros, pour un résultat net de 120 millions d’euros après une charge fiscale de 41 millions d’euros. En 2020, le résultat courant net était de 89 millions.

Une performance portée par les volumes de crédits, qui ont atteint 9 milliards d’euros en 2021, contre 8,7 milliards en 2020, et la progression de 22,5% des revenus de commissions.

Le ratio coûts-revenus progresse de 4%, pour atteindre 53%. Le ratio de solvabilité s’établit à 24%, et le rendement sur fonds propres atteint 11%.

Le bilan a progressé de 28,8%, à 23,3 milliards d’euros, «suite à d’importantes collectes de dépôts au sein du Wholesale Banking».

ING Solutions Investment Management (en abrégé, ISIM), la société de gestion luxembourgeoise d’ING, a poursuivi sa forte croissance en dépassant les 30 milliards d’euros d’actifs sous gestion l’année dernière. Elle gère actuellement des fonds luxembourgeois qui sont distribués dans cinq pays européens.

En ce qui concerne Retail and Private Banking, les prêts hypothécaires ont augmenté de 0,2 milliard d’euros, pour atteindre 3,5 milliards d’euros.

«Après une année 2021 record en termes de revenus et de résultats nets, le contexte 2022 sera plus difficile pour ING, car nous investissons pour nous conformer aux nouvelles réglementations, telles que la cinquième directive AML ou SFDR, et technologies», déclare Colette Dierick.