Pour avoir une chance d’intégrer la communauté des pionniers technologiques du Forum économique mondial (WEF), il faut déjà… postuler. Le candidat idéal, selon le WEF, doit avoir les qualités de base d’une start-up (moins de dix ans, un financement solide et être valorisée à moins d’un milliard de dollars) et être «véritablement innovant en mettant sur le marché une technologie avec un modèle économique efficace et être considéré comme un leader technologique dans son domaine».

Son leader devra non seulement être «visionnaire, avec la capacité de conduire l’entreprise vers le succès et être capable de consacrer du temps et de l’expertise aux travaux du Forum». 

Né en 2000, le réseau compte, par exemple, dans ses lauréats, Blablacar (2015), Airbnb (2014), Dropbox (2012), Kickstarter (2012), Spotify (2011), Twitter (2010), Proteus Digital Health (2009), Mozilla Corporation (2007) et Google (2002).

«Les pionniers technologiques de cette année sont des leaders émergents dans un large éventail d’industries qui englobent les soins de santé, les technologies propres, l’IA, la logistique et plus encore», indique le communiqué de presse.

La suédoise «, par exemple, est un pionnier technologique qui aide les entreprises de médias à découvrir les stéréotypes et les écarts de représentation dans leur contenu grâce à une analyse automatisée de la diversité et de l’égalité. utilise la technologie pour soutenir les solutions climatiques de l’économie circulaire en Inde. soutient des options d’éducation personnalisées grâce à des innovations combinées dans les sciences de l’apprentissage, l’IA et les neurosciences.»

La cohorte de cette année comporte plus de 30% d’entreprises dirigées par des femmes et des représentants de 26 économies – les Émirats arabes unis, le Salvador, l’Éthiopie et le Zimbabwe étant représentés pour la première fois. 

, par exemple, construit des identités numériques auto-souveraines pour aider les plus de 400 millions d’Africains qui ne disposent pas de formes d’identification appropriées. Pendant ce temps, s’attaque au changement climatique en développant des infrastructures urbaines durables pour soutenir les produits de valorisation énergétique des déchets.

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