Rayons alimentaires ou d’hygiène élémentaire dévalisés, comme ici ,le 13 mars, au Kirchberg, où le papier-toilette devient une rareté… Malgré les appels au calme, la psychose accompagne les premiers temps du Covid-19. (Photo: Maison Moderne)

Le 17 mars, à Schengen comme ailleurs, les frontières reprennent vie avec des contrôles policiers, au grand dam des autorités grand-ducales. (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

Dès la mi-mars, les premiers drive-in pour se faire dépister se mettent rapidement en place, comme ici à Junglinster. (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

La Croix de Gasperich, carrefour autoroutier du Grand-Duché, déserté par les véhicules… Dès le 18 mars 2020, le Luxembourg est placé en état de crise. (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

Fin mars, des sites comme la Rockhal ou Luxexpo sont réquisitionnés pour abriter des centres de soins avancés.  (Photo: SIP/Julien Warnand)

En avril, puis au mois de mai, les précieux masques chirurgicaux sont distribués aux résidents et travailleurs frontaliers, grâce à l’aide logistique de l’armée. (Photo: Matic Zorman/Maison Moderne)

Le 4 mai marque une reprise des cours tout à fait atypique dans les lycées du pays, entre port du masque et distance sociale.   (Photo: Romain Gamba / Maison Moderne)

Le 11 mai, des employés des CFL surprotégés désinfectent méticuleusement un bus.   (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

Les artisans peuvent reprendre leur activité depuis mai, à l’image des coiffeurs, non sans un strict protocole sanitaire. (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

Comme ce 20 mai 2020, le pays vit depuis un an au rythme des conférences de presse du gouvernement. Face aux journalistes, il est question des restrictions, des aides, de la situation dans les hôpitaux… (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

Fin mai, la capitale retrouve une certaine animation alors que le gouvernement décide la réouverture des restaurants, des cinémas et autres espaces culturels. (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

Après 73 jours de fermeture forcée, les restaurants sont autorisés à rouvrir leurs terrasses le 27 mai, deux jours avant de pouvoir exploiter leurs salles. (Photo: Romain Gamba / Maison Moderne)

Le Luxembourg reste en partie paralysé par l’épidémie, mais les manifestations, elles, restent autorisées. Le 5 juin, devant l’ambassade des États-Unis, plus de 1.000 jeunes (masqués) protestent après la mort violente de George Floyd.   (Photo: Romain Gamba / Maison Moderne)

Le masque s’est imposé au fil des semaines à toutes les générations, comme à ces jeunes adolescents réunis avant de taper dans le ballon. (Photo: Nader Ghavami/Maison Moderne)

Entre la fermeture du printemps et celle actée à l’automne, la vigilance était de mise pour les professionnels de l’horeca. Et la police veillait au respect du protocole sanitaire imposé aux restaurateurs et cafetiers. (Photo: Nader Ghavami/Maison Moderne)

Pas de concert et pas de feu d’artifice pour la Fête nationale. Mais l’accalmie observée sur le front des infections a permis à beaucoup de retrouver leur vie d’avant. Dans la bonne humeur. (Photo: Nader Ghavami/Maison Moderne)

Le 26 juin, la Philharmonie célèbre son 15e anniversaire: musiciens comme spectateurs sont tenus de respecter la distanciation sociale, pratique qui s’est généralisée dans toute la société.   (Photo: www.alsalphotography.com)

Les élus ne font pas exception au protocole sanitaire. La Chambre des députés étant inadaptée pour permettre le respect des distances, c’est au Cercle Cité qu’on légifère et qu’on débat désormais. (Photo: Jan Hanrion / Maison Moderne)

Pour compenser l’annulation exceptionnelle de la Schueberfouer, la Ville de Luxembourg a offert à certains forains la possibilité d’installer leur manège en différents endroits de la capitale du 11 juillet au 13 septembre. Succès mitigé.  (Photo: Romain Gamba / Maison Moderne)

Le monde de la nuit est l’un des secteurs les plus violemment touchés par la crise. Paperjam a relayé l’appel de détresse des patrons de clubs et boîtes de nuit, réunis le temps d’un cliché au Knuedler le 24 août. (Photo: Jan Hanrion / Maison Moderne)

La traditionnelle Stater Braderie a bien lieu le 31 août 2020. Le masque y est vendu sous toutes les coutures. (Photo: Matic Zorman / Masion Moderne)

La période estivale a été marquée par une relative accalmie sur le plan sanitaire, permettant aux vacanciers de s’évader, malgré l’invitation à privilégier des «Vakanz Doheem». Au Findel, les passagers sont quand même invités à se faire dépister. (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

Début septembre, la rentrée à l’Uni était évidemment particulière. Un millier d’étudiants ont découvert le campus de Belval le 11 septembre lors d’un Welcome Day ajusté aux mesures sanitaires. (Matic Zorman / Maison Moderne)

Télétravail, réunions connectées, visioconférences… L’usage des outils numériques a explosé à la faveur de la crise sanitaire.  (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

Le 13 novembre, nous rencontrons les malades les plus durement touchés par l’épidémie. Au Rehazenter, des patients de tous âges tentent d’effacer les séquelles de leur passage en réanimation. (Photo: Nader Ghavami)

Les premiers vaccins sont livrés fin décembre au Luxembourg. Le 28, les premières personnes pouvant en profiter sont les soignants, immédiatement suivis par les plus âgés. (Photo: Romain Gamba / Maison Moderne)

À l’image de ces professionnels rencontrés le 19 janvier au CHEM, les soignants ont été en première ligne tout au long de la crise sanitaire.  (Photo: Nader Ghavami / Maison Moderne)

L’horeca prend son mal en patience alors que les restaurants, cafés et bars sont fermés depuis le 26 novembre. Ces dernières semaines, ces professionnels ont manifesté à plusieurs reprises pour réclamer une réouverture et de nouvelles aides. (Photo: Matic Zorman / Maison Moderne)

C’était le 10 février dernier, à la Rockhal. Après plus de 11 mois sans concerts, soit 340 jours, la musique a fait un joli retour dans la salle eschoise, grâce au duo Glass Museum. (Photo: Claude Piscitelli)